Tonay, Ladybug, désolée de ne pas vous avoir répondu de suite, j'ai préféré attendre d'être "de retour" pour le faire.
Mais je vous avais lu, et c'était très enrichissant.
Tonay > "un bon chapitre". Nnnnnnnon. Je ne suis pas dure avec moi, je suis réaliste : ce chapitre ne m'a pas apporté autant de fun que les autres à écrire, donc si, je le trouve plutôt mauvais.
Si moi-même je n'ai pas trop de fun dans une histoire que je veux être fun, d'une comment je veux que mon lectorat ait lui aussi du fun, de deux, ne serait-ce pas le signe que je me suis fourvoyée quelque part ?
Par contre, rassure-toi, s'il y a une chose qui n'arrivera pas, c'est l'abandon. Je peux mettre des plombes à écrire
(coucou mon autre fic'), mais hors de question d'abandonner.
Même si je n'ai plus de lecteur qui commente.
(recoucou mon autre fic'.)Les digressions. Mon GROS point faible ever. Comme quand j'indique une route : je pense trop, et entre autre aux moyens les plus confortables pour la personne qui cherche son chemin d'atteindre son but, donc je pars dans tous les sens... =__=
Sache que j'ai réussi à perdre un touriste à 100 mètres de sa destination. Destination à 100 mètres de là où on était, donc. Qui m'a abordé au portail de chez moi. Donc dans un coin que je connais très bien. Et même là pour raconter, je suis sûre de t'avoir perdu.
A ce niveau, on peut se demander si ça ne serait pas un don. è__é
Oh, j'ai peut-être en fait un sort de Confusion Automatique de haut niveau !!
Alors c'est très con, mais je n'avais absolument pas pensé à raconter les erreurs que tu as cité...

Merci pour l'idée (pourtant évidente !)
Je crois que, quelque part, je comptais au départ mettre ça plus tard, et ça serait passé à la trappe...LES PAVAYS !
Là, c'est un point où je vais avoir du mal à m'accorder avec les gens...
La lecture sur forum, j'ai du mal, mais plus la personne va rajouter d'espaces entre chaque lignes, plus j'aurai de mal à lire. J'ai étrangement moins de mal avec des groupes un peu épais, et, par conséquent, je ne peux appliquer une mise en page qui ne me semble pas naturelle.
Et pourtant, depuis que j'ai posté le premier chapitre de
Sykia, j'ai fait des progrès ! J'essaie de ne pas dépasser un certain nombre de lignes avant d'en sauter une, j'essaie de mettre cette coupure de façon logique... Mais j'ai bien conscience que ce n'est pas parfait, loin de là. Parce que déjà, la coupure qui va me paraître "naturelle" n'est régulièrement pas là où visuellement j'aimerais la mettre. Donc je me retrouve à rajouter un peu... La palme à ce qui m'agace à quand je me retrouve en quelque sorte obligée de mettre un plus gros bloc, parce que là où je peux mettre le retour à la ligne, ça ne laisse que deux malheureuses lignes derrière. C'est craignos. =__=
Bref c'est un sujet qui est... Sujet à débat !
Peut-être qu'un jour j'arriverai à plus adhérer à ce qui se fait plus communément sur le forum, je ne sais...En tout cas encore un super Merci pour ton retour !
Ladybug > La question de savoir où je vais amener mes lecteurs est une éternelle grande question...
A laquelle je crois que je suis incapable de répondre moi-même !!
Côté potentiel comique, perso, je me suis vraiment bien marrée à l'arrivée sur Terre. J'espère que ça sera aussi le cas pour mon lectorat.

De toute façon, comme je l'ai dit un peu plus haut, il n'y a pas que les commentaires de Tonay et Ladybug que j'ai jugé très enrichissants. Tous ceux auxquels j'ai eu droit le sont. Sachez que chaque commentaire fait, peu importe la fic', m'est très précieux et m'aide à réfléchir.
Ma nullité en réponses me rend pas capable de vous montrer combien vos commentaires sont tels des trésors, pour moi. <3
Sur ce, me revoici !
Ça a été long, ça aurait pu être encore un peu plus long, vu que je comptais avoir repris le 6e chapitre avant de poster, mais que là, sur un coup de tête, j'ai décidé de me lancer.
Si j'avais
vraiment voulu pouvoir reprendre les chapitres 3, 4 et 5, il aurait fallu attendre au moins 2 ans. Bof, quoi. Là, ils sont trop récents pour que j'arrive réellement à me décider à trancher dans le vif pour changer plus radicalement des choses.
Là, je sens que vous commencez à avoir peur.
Vous pouvez.
Oh oui, vous pouvez.
Vous devriez, même.
Parce qu'en fait, il n'y a pas vraiment de changements. Juste du rajout.
Genre ce chapitre 3 a juste doublé.
Vous allez souffrir.Mais moi, arrangé ainsi, je me marre bien. ENFIN.
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-3 bis-
Onze mois s’étaient désormais écoulés, et le voyage touchait à son terme.
« Le vaisseau du saiyen Son Gokû avance toujours à la même vitesse, maître Freeza. Notre synchronisation est correcte, et notre arrivée toujours prévue trois heures avant lui. »
Elle remercia le soldat de son rapport d’un signe de la tête. Il la salua en retour et rejoignit son poste.
« Est-ce-que les événements se déroulent à ta convenance, mon fils ?
Elle servit au père de son corps son sourire le plus freezien possible. « Tout à fait, père. J’ai hâte de découvrir sa tête quand il découvrira une planète morte. Tout ce qu’il a toujours voulu protéger… Anéanti.
-Bien. Tu ne peux savoir combien cela me ravit de constater que ta fierté n’a pas été émoussée.
-Comme quoi, père, un état de choc peut arriver même aux meilleurs… Mais du moment qu’on se ressaisit…
-Oui. C’est l’essentiel. » Le roi s’était renfrogné. Il détestait entendre sa progéniture parler si facilement de faiblesse.
« Avec votre permission, je vais retourner à mes exercices. »
Son actuel géniteur la laissa partir en la congédiant d’un geste de la main. Il n’avait jamais fait cela avant "l’accident Namek", mais désormais, quand il faisait ainsi la lippe, c’était devenu un réflexe.
Elle déambula dans les couloirs en soupirant. Elle ne devait pas se relâcher, mais au moins elle était presque assurée de survivre au chapitre "mécanisation – le voyage vers la Terre".
Elle se remémora le jour de son réveil, quand elle avait compris qu’elle ne pourrait pas échapper au périple vers la planète bleue. Elle s’était précipitée vers la pièce où se trouvait son nouveau paternel.
« Père ! On va sur Terre ! Je dois absolument me venger de ce saiyen ! »
A voir la tête de Cold, cette première interprétation de son fils avait été une réussite.
Mais derrière, elle avait préféré s’isoler, une fois embarqués dans le vaisseau. Elle ne savait pas comment dans le manga Freeza avait passé les longs mois du trajet, s’il avait été constamment en présence de son parent ou s’il avait éprouvé le besoin de s’isoler, mais elle, elle ne se voyait absolument pas risquer de se retrouver empêtrée dans un tête-à-tête permanent avec la personne censée la connaître le mieux au monde. Ou plutôt de l’univers.
De retour dans sa chambre, elle reprit son carnet, caché entre le sommier et le matelas.
Pour pouvoir plus facilement mettre de l’ordre dans ses idées, elle s’en était procuré un, où elle notait ce qu’elle voulait quand elle pouvait.
Carnet de bord du capitaine, année galactique 764.8. Notre long voyage arrive à son terme, sans que nous puissions deviner si ce sera la mort ou la vie qui nous y attend. Ces jours d’angoisse touchent enfin à leur terme. L’équipage et moi-même…
-Raison ! Elle ouvre le carnet !
Dans une salle des commandes digne des séries de science-fiction des années ’60… Voire éhontément copiée sur une série en particulier, un mini Freeza se passa une main sur le visage.
Il occupait le siège du capitaine, qui se trouvait en retrait d’une console de commande où étaient installés deux autres mini Freeza ; un quatrième mini Freeza se tenait debout en retrait du fauteuil principal et un cinquième non loin du périphérique biplace. La salle circulaire était tapissée d’ordinateurs devant lesquels sept encore plus mini Freeza œuvraient. Tous, Minis comme Super Minis, étaient en forme finale non cybernétisée.
Les Super Minis se ressemblaient tous, avec de grands yeux tout mignons dans leurs gros visages sans nez et sans bouche surplombant des tout petits corps. Leur kératine était à tous d’un bleu roi et leurs yeux bleu indigo.
Chez les Minis, celui qui était agacé d’avoir été interrompu et avait été interpellé sous le nom de Raison portait une paire de lunettes devant un regard décidé jaune et une kératine rouge.
Raison : Angoisse ! J’étais en train de faire mon rapport !
La seconde à être intervenue fit la moue. Ce qui ne la changea pas de d’habitude, vu qu’elle arborait constamment un air au mieux boudeur, au pire larmoyant, avec ses petites joues gonflées et sa lèvre inférieure mordue presque en permanence. Elle avait des yeux verts pleurnichards et arborait une dominante de jaune sur son corps.
Angoisse : Mais c’est toi qui as dit qu’il fallait te prévenir quand…
Raison : Pas quand je m’occupe à relater notre vie !
-Oh, c’est bon capitaine Kirk ! Arrête ton trip Star Trek !
Raison : NON !! Fangirl ! Pourquoi tu as dit ça ?? Tu sais pertinemment qu’il va…
-Arrête ton cliip, clip, clip, clip ! J’en ai ma claaaque, clac, clac, clac ! Arrête ton cliiip, clip, clip, clip…
Raison, Angoisse et la dénommée Fangirl, s’affalèrent sur leurs sièges en soupirant de lassitude.
Fangirl : Désolée, j’avais oublié que cette phrase allait relancer Juke-Box…
Ce dernier, le cinquième cité précédemment, détonnait par rapport aux autres : il ressemblait plus à une machine aux traits de Freeza qu’à un vrai Freeza. Là où tous les autres avaient de la peau blanche, il arborait un aspect métallique gris clair ; ses yeux, deux losanges orangés, semblaient taillés dans des catadioptres ; sa bouche était un fin rectangle aux allures de sélecteur de station de poste de radio des années ’50 ; ses oreilles étaient des petites antennes de réception avec un quadrangle au bout ; il n’avait pas de nez, mais un trait semblait séparer ce qui lui servait de visage, partant du dessus de la bouche et montant jusqu’à la partie la plus basse de sa pièce de crâne ; de plus, les lignes que tous les Freeza forme 4 avaient de sous leurs yeux jusqu’au menton traversaient chez lui ses yeux à facettes et montaient, là encore, jusqu’au crâne ; son corps était d’un bloc, n’avait ni bras, ni jambes, mais arborait des décorations là où les autres avaient la kératine : le motif des épaules était relié par celui du torse, et ceux des bras rejoignaient ceux des jambes. Ils étaient tous en vert, mais quand il se mettait à chanter, on pouvait voir leurs couleurs varier. Dans son dos, symbolisant la queue du modèle d’origine, une longue fiche traînait. En USB-C.
Fangirl : On lui reparle du nom de notre groupe, pour le changer de disque ?
Elle pointa du doigt la bannière au-dessus du sas d’entrée, sur lequel était écrit "Q.G. Frizzy".
Raison la foudroya du regard.
Raison : Jamais de la vie. Il se lassera plus vite de cette chanson que du refrain de la publicité.
Fangirl : Oh, ça va, ça va…
Elle se repositionna devant son clavier. Avec Juke-box, elle partageait la particularité d’avoir un appendice caudal différent des autres : en effet, elle arborait une queue de chat, assortie au serre-tête à oreilles de chat posé sur son crâne violet. Au lieu d’avoir un nez court et large et une bouche délicate et marquée, elle avait le même museau qu’un chat brachycéphale, ce qui lui donnait l’air de sourire en permanence. Ses iris -en amande, forcément- étaient roses. Ses lignes de visage formaient des pointes sur les côtés, comme s’il s’agissait là de fourrure, ou de moustaches. Et elle était la seule à être habillée : elle portait un tee shirt à manches raglan longues bleu primaire sur une pièce de corps blanche où était écrit "Capsule corp.". Sa couleur était un violet clair tirant sur le lavande, loin du pourpre d’origine, et elle avait pour habitude de dire de préciser à chaque fois que c’était le "violet Trunks, pas le violet Freeza".
Le dernier membre, quant à lui, semblait absent, éteint. Ses yeux gris foncé restaient dans le vague, et sa kératine noire faisait ressortir l’or du fin diadème enserrant son crâne. Sur le devant, le bijou formait une pointe vers le bas où était enchâssée une pierre bleue. Il avait aussi un collier tubulaire autour de son cou, qui passait approximativement là où devait se trouver la pomme d’Adam, pour autant qu’il en ait possédé une, ainsi qu’un collier plastron sur son torse, incurvé sur le dessus, avec une pointe au-dessous, et la même pierre bleue en son centre. Son nom était Colère.
Cet étrange groupe venait du même univers que la réincarnée. Auteurs des notes, ils l’avaient accompagnée par-delà la mort, mais n’avaient pris forme qu’après le premier réveil dans cet univers, ce qui, pour eux, avait été un éveil.
Les caméras de la salle des commandes où ils se trouvaient, les yeux, montraient le carnet qui s’ouvrait.
Raison : Silence ! Il est temps de se lancer dans la relecture finale, pour nous préparer à ce qui va advenir !Entrée 1 a écrit:Je déteste toujours autant écrire à la main.
Mais si jamais j’écris sur un ordinateur, ils pourraient plus facilement avoir accès à ces notes, et surtout, ils pourraient les lire. Et vu ce que ça risque de contenir, ça pourrait me valoir la vie, si c’était compris.
Avant de commencer à écrire ceci, j’ai fait un test. J’ai écrit : "Crie ‘Vive Freeza’ si tu ne veux pas que je te tue dans l’instant." Et je l’ai fait lire à un soldat. Il a regardé la feuille sans rien comprendre. Et il était assez paniqué.
Fangirl se tourna vers Raison : C’est chiant à liiiire ! Je préfère quand elle écrit ses fanfics d’amour avec Trunks !
Le chef soupira.
Raison : Son écriture est toujours aussi pénible à déchiffrer. Lance plutôt la vidéo du souvenir lié à cette entrée, on ira plus vite.… Elle sortit prudemment de sa chambre, en se demandant si c’était une si bonne idée que cela. Cependant, avant d’envisager quelque suite possible, il fallait qu’elle en ait le cœur net. Elle pouvait lire leur écriture, même si la première fois qu’elle l’avait vue, elle l’avait trouvé bizarre. Alors qu’en était-il de la sienne ?
Elle avisa un soldat, au loin, qui allait disparaître de sa vue en raison de la courbure du couloir. Elle le héla. Perplexe, il se retourna, et se mit immédiatement au garde-à-vous.
Nerveuse, elle lui tendit une feuille. « Repos. »
Il la prit et commença à s’éloigner.
Elle l’arrêta immédiatement. « Où vas-tu ?
-Porter ceci à maître Cold…
-Ce n’est pas pour lui. »
Le guerrier ouvrit des yeux ronds de surprise. « Ah bon ? Mais… Que dois-je en faire, maître Freeza ? »
Il commençait à paniquer.
Elle était bien embêtée. Si elle lui disait de lire, et qu’il ne le pouvait pas, il saurait que c’était de l’écriture, et, au cas où, elle ne voulait pas le mettre sur la piste. Oh, mais n’était-elle pas, à l’origine, une écrivaillonne ? N’avait-elle pas l’habitude de tourner les phrases différemment pour éviter les répétitions ?
« Regarde la feuille. »
L’homme s’exécuta sous le regard intense de sa supérieure. Puis il se mit à lui jeter des regards en douce, de plus en plus mal à l’aise.
Elle restait là, à le fixer, sans rien dire. Un ou deux autres hommes de main passèrent à côté d’eux, incapables de répondre aux suppliques silencieuses de leur camarade à la torture.
Au bout d’une éternité de bien cinq minutes, il se décida à rompre le silence.
« Maître Freeza… Puis-je vous poser une question, sans vouloir me montrer insolent ?
-Je t’écoute.
-L-loin de moi l’idée d’être insultant, ou malpoli, ou…
-Parle, au lieu de me faire perdre mon temps.
-Ou-oui !! De suite, Maître Freeza ! … Je suis censé faire quoi, de cette feuille ? Je l’ai regardée, et maintenant ? »
Sans répondre, elle lui prit le papier des mains et s’en retourna en son sanctuaire.
Elle s’écroula sur son lit, soulagée. « Ce premier essai est un succès ! »
Elle porta son regard sur le papier. "Crie ‘Vive Freeza’ si tu ne veux pas que je te tue dans l’instant." Le texte était, lui semblait-il, suffisamment explicite pour provoquer une réaction immédiate de la part du lecteur.
Dans le doute, elle allait faire d’autres essais, comme une personne pouvait, potentiellement, connaître ce langage en dehors d’elle, et avec d’autres formulations, un peu moins violentes.
Elle se mit alors à déambuler dans les couloirs, avec en plus du premier texte, "Salue-moi en frappant ton torse trois fois au niveau de l’insigne ou je te pulvérise dans l’instant" ainsi que "Mets-toi une gifle ou je t’atomise".
Une part d’elle reconnaissait que la violence n’était pas vraiment inférieure au premier essai, au final ; cependant, après moultes réflexions, elle n’avait pas trop eu le choix.
Elle débusqua chaque soldat et le soumit à la torture comme ce fut le cas du premier. Le mot dut passer rapidement entre eux, comme une heure plus tard ils prenaient la feuille, l’air grave, et la regardaient sans rien dire jusqu’à ce qu’elle en ait assez et s’en aille en ayant repris son bien sèchement.
Elle avait quasiment fait le tour de tous les membres du vaisseau lorsqu’une ombre s’abattit sur elle.
Elle vit le mécanicien -dernière victime en date de sa lubie- blêmir. Elle-même déglutit.
« Je t’observe depuis quelques minutes, mon fils, et… A quoi joues-tu donc ? »
Elle reprit la feuille et tenta de cacher le tout dans son dos. « Père ? Est-ce donc déjà l’heure de votre promenade ? Que le temps passe vite… »
Avant qu’elle ait pu réagir, il se saisit des objets et les observa. Elle fit son possible pour ne pas se départir de son sourire obséquieux.
« Qu’est-ce ? » Le géant fronçait les sourcils, dubitatif.
« Ce sont… Des frises, père. Des frises décoratives. Je me souviens de certains peuples qui portaient des dessins ressemblant à cela sur leur peau. Ayant trouvé cela joli, je me disais que, peut-être, je pourrais les reproduire sur les murs de ma chambre… Mais je ne suis pas sûre du design.
-Et c’est pour cela que tu troubles mon équipage ?
-Troubler, dites-vous ? » Elle prit un air choqué. « Quand donc ?
-Quand tu passes de longues minutes à les regarder sans rien dire alors qu’ils restent les yeux rivés sur leurs feuilles. Tu ne vas pas me dire que c’est une attitude normale ? »
Elle prit un air offusqué. « Voyons, père ! Si je leur dis quoi que ce soit, comment voulez-vous que j’aie une réponse objective de la part de ces pauvres insectes tout juste capables de lacer leurs chaussures sans nous ?
-Lacer leurs chaussures ? » Il renifla dédaigneusement, préférant oublier cette partie du discours.
Il était plus que temps de couper court à cette conversation. Elle lui reprit lestement les feuillets et s’éloigna prestement.
« Vous avez raison, père ! Les murs blancs, c’est plus sobre et plus chic ! Merci pour le conseil ! »
Une fois dans sa chambre, elle n’eut même pas la force d’atteindre son lit.
Affalée au beau milieu de la pièce, sentant son cœur reprendre un rythme normal, elle gloussa. « Il n’a pas bronché lui non plus, c’est juste un truc de fou ! »
[…] Ils n’ont pas le même système d’écriture que moi, et le peu d’alphabet romain qui doit traîner est constitué de lettres en caractères d’imprimerie, pas d’écriture cursive. C’est un peu comme pour les kanjis : quand ils sont écrits au pinceau par des maîtres calligraphes, faut s’accrocher pour réussir à lire. Surtout pour les étrangers.
Note : contrairement à mon moi dans ma fic, je comprends très bien l’écriture d’ici. Tant mieux.
Entrée 2 a écrit:Quand même, ça me travaille depuis mon réveil…
POURQUOI Freeza ? On n’a pas vraiment de points en commun, il me semble…
Je vais laisser de la place sur cette page pour compléter si jamais il me venait des idées. Mes idées d’aujourd’hui, je vais les mettre avec un tiret, les autres, je mettrai une étoile.
-Nous sommes deux égocentriques (+égoïstes ?).
-… Ok, je n’ai pas d’autre idée. C’est un peu maigre.
*"Aimer ? C’est quoi ?" (4) et (6)
*"Si je t’aime, prends garde à toi" (9)
*"femelle un jour, femelle toujours ?" (11)
* "une question d’esthétique" (12)
*le centre de l’univers (13)
*"faiseurs de morts" (16)
Entrée 3 a écrit:Dans les webtoons/mangas/séries où le protagoniste "se fait isekai par mort", il arrive souvent à récupérer les souvenirs de son nouveau corps. Enfin, dans le cas où il se retrouve dans la peau d’un être déjà existant, et pas avec un corps tout beau tout neuf créé pour l’occasion, évidemment. Comme dans les "je suis devenue la grande méchante finale du jeu de romance et il faut que j’évite le ‘bad end’". … Ce que je suis quelque part en train de vivre, quoi. Même si Dragon Ball n’est pas un jeu de romance. Enfin bon.
Raison : Je suggère une fois de plus de développer cette partie, pour ceux d’entre nous qui ne sont pas au fait des termes employés.
Angoisse et Fangirl se jetèrent des regards en coin.
Angoisse : Mais, Raison, il n’y a personne ici qui ne connaît pas l’isekai…
Raison : Et alors ?? On est peut-être observés par des gens, sans le savoir ? D’accord, on n’a jamais lu 1984, ou regardé The Truman Show, mais on ne peut jamais savoir quand on est exposé au regard d’autrui !
Angoisse fit la moue.
Angoisse : Et c’est moi la paranoïaque de l’équipe, il paraît…
Raison : Alors il faut dire que le terme d’isekai se réfère aux changements d’univers ! Que c’est très très populaire en ce moment dans notre univers d’origine ! Et que nous suivons actuellement le schéma classique de la personne morte dans l’univers d’origine de celle qui lit l’histoire ou regarde l’animé, et qui finit réincarnée dans son histoire préférée, dans le rôle du méchant censé mourir à la fin de ladite histoire ! Et que sachant cela, nous devons tout faire pour sauver notre peau ! Parce que… QUI aurait envie de mourir ? Surtout en se réincarnant dans son univers préféré !!
Emporté par son discours, il s’était levé et brandissait son poing vers le plafond.
Fangirl : Ouiii, ouiii… Et on va finir avec un harem.
Raison, ramené au présent, se laissa lourdement retomber sur son siège, exaspéré.
Raison : Non, parce que Dragon Ball n’est PAS un jeu de drague !
Fangirl : Justement !! C’est ce que je lui reproche !! Et en plus, même si on rencontre Trunks, je ne vois vraiment pas comment réussir à le pécho !
Angoisse soupira de lassitude.
Angoisse : Moi, je continue la lecture.Je pense qu’il faut que j’essaie de méditer. C’est tout sauf facile, puisque je n’arrête pas de réfléchir en permanence. Je ne dis pas que je suis intelligente. Pas du tout. Parce que ce n’est pas le tout de beaucoup réfléchir, ce qu’il faut, c’est réfléchir BIEN. De façon EFFICACE. Et LOGIQUE. Et ça, même si je tends à essayer de m’améliorer, ce n’est pas gagné…
Raison rougit.
Raison : Je suggère de rayer cette partie. Je la trouve inutile.
La proposition fut rejetée à deux voix contre une.D’ailleurs, je ne peux pas mettre dans l’entrée 2 l’intelligence : je pense que Freeza l’est plus que moi. D’ailleurs, ça me fait flipper : si je m’en sors, comment je vais réussir à gérer l’empire ??
Bah, chaque chose en son temps. Il faut pour le moment que je me concentre sur "comment survivre jusqu’à la Terre ?" et "comment survivre sur Terre ?". Heureusement, pour cette seconde partie, j’ai plein de temps (pour y réfléchir). Malheureusement, pour la première partie, j’ai plein de temps (pour me démener pour survivre).
Entrée 4 a écrit:La méditation porte ses fruits !!
Ce n’est vraiment, mais alors vraiment pas facile, mais je réussis à avoir accès aux souvenirs de Freeza !
Pas tout. Je n’arrive toujours pas à savoir s’il est un mâle ou une femelle (y a-t-il eu un sujet sur ça sur le forum, au fait ?), voire un spécimen asexué, ni comment peuvent se reproduire ceux de son espèce. Ce corps se fiche de moi. Surtout que comme il ne reste plus beaucoup du corps originel, je n’ai aucun moyen d’obtenir une réponse sans risquer ma peau ! Parce qu’évidemment, LA "zone sensible" n’existe plus ! (Et je ne me vois pas aller demander à Cold. Autant c’était amusant le "comment on fait les bébés ?" de ma précédente vie, autant là… Aussi drôle que l’idée puisse être, je n’ai pas envie de risquer ma vie aussi bêtement. Ça a beau ressembler à une fiction à deux balles, ça reste ma vie. La dernière, très certainement.)
Par contre, il va falloir que je trouve des idées pour m’habituer totalement à ce corps et aux prothèses. Parce que la méditation et les souvenirs, c’est bien, mais habiter entièrement le tout, ce serait mieux.
J’ai la base, pour marcher, par exemple. En fait, mon corps se place tout seul en "pas de canard", les pieds partant vers l’extérieur, mais c’est tout à fait naturel. C’est quand je tentais de marcher avec les pieds droits que ça n’allait pas : avant, j’avais des terminaisons étroites, maintenant j’ai des choses larges. Evasées. Donc si je ne veux pas me marcher sur les gros orteils, je laisse faire mon corps.
Fangirl : Hé ! Et si on en profitait pour se repasser la scène du réveil, quand elle a voulu aller à la porte ?
-On est à peine au troisième épisode que déjà tu cherches à faire du remplissage avec des scènes des épisodes précédents. Et après, c’est quoi ? Le générique qui mixe des images des deux premiers ? Tu te crois où ? Dans un animé du siècle dernier ?
Les regards convergèrent vers la nouvelle voix qui venait de s’exprimer. Le trio de minis Freeza actifs soupira.
Raison : Ironie… Tu ne nous avais pas manqué.
Le visage de Juke-box s’était ouvert à la ligne médiane pour laisser apparaître une sorte d’estrade de théâtre aux profondes ténèbres sur lesquelles se détachait un nouveau personnage. C’était un mini Freeza pas plus grand qu’un doigt à l’air dédaigneusement blasé, enveloppé dans une grande cape lui donnant des allures de chauve-souris au repos. Tout comme Juke-box avait sur son corps de métal des motifs rappelant les parties colorées du modèle d’origine, ce tout petit être portait des motifs sur sa cape de la même teinte que son crâne, d’un rouge orangé à tendance carotte.
Raison : Disons que je n’ai pas trop compris de quoi tu parlais, et que je suis d’accord pour l’idée. On continue la lecture.
Fangirl : Dommage, j’adore revoir la tête de ce soldat, quand il nous découvre avec notre pied sur la tête…Comme pour la queue. Depuis un peu plus d’un mois que je la trimballe, je l’ai assimilée comme une extension, elle ne pose plus de problème. Oui, enfin, je n’en suis quand même pas encore à la bouger comme un bras. Genre là je ne pourrais pas soulever Vegeta avec en l’étranglant pour lui filer des gnons. De toute façon d’une ce passage est passé, de deux je n’ai aucune envie de faire ça. Ça sera déjà difficile de ne pas kyatter en le voyant, alors vouloir lui faire du mal, no thank you.
Plus intéressant : j’ai eu accès aux souvenirs des sentiments. Ou/et émotions. Zut, je n’ai pas accès à un dictionnaire pour vérifier la nuance entre ces deux termes. Parce que je suis sûre qu’ils ont beau être synonymes, il y a des subtilités entre les deux mots.
Raison : Par contre, ici, je suggère de rayer la suite de ce paragraphe. Je n’aurais jamais dû laisser Angoisse le terminer. Ça me fiche le bourdon, à chaque fois.
Cette dernière gonfla les joues.
Angoisse : Maieuh ! Je fais ce que je peux !
Ironie : HA ! HA ! HA ! Et voilà ! Ça a eu la flemme, et maintenant ça se plaint !
Raison jeta un regard blasé à Ironie.
Raison : Cela s’appelle ‘déléguer’. Une pratique que tout bon chef se doit d’employer.
Ironie : Oh, je vois. C’est beau de reconnaître que tu n’en es pas un souvent.
Le rouge monta aux joues de Raison.
Raison : Je vais la…
Fangirl : Raison ! La lecture continue !Reprenons avec les émotions. Oui, plutôt émotions. Je crois que la meilleure des images serait celle d’un jardin où l’on aurait tenté de faire pousser plein de plantes différentes (correspondant aux différentes émotions et sentiments). Il y aurait la zone des petits pois, des tomates, des haricots… Et justement, la zone des tomates (allez, ça ressemble un peu à un cœur, hein), ben les graines n’ont pas pris, il y a à peine trois pieds sur tous les semis effectués, et en plus ils sont tout rachitiques, à peine une main de haut. Mais la zone n’est pas vide ! Non, puisque les orties, gardées en bordure parce que c’est utile [-X-]
Raison : HAAAA !! Angoisse, qu’est-ce que tu viens de faire ??
Cette dernière fit encore plus la moue.
Angoisse : Ben quoi ?? Tout le monde se plaint que mon analogie avec le potager nous fait déprimer, alors je nous ai fait sauter ce passage, puisqu’il nous rappelle que… Que… Qu’on est moooorts et qu’ooon verraaaaa pluuuuus maaaamaaaaaan… !!!
Raison et Fangirl échangèrent un regard, dépités.
Ironie : Je suis tellement contente d’être arrivée à temps pour partager avec vous ce moment de complicité et de fusion émotionnelle. J’admire tout particulièrement notre si admirable capitaine et son sens de l’à-propos, qui sait faire preuve de finesse dans les moments délicats, de sensibilité et de discrétion quand son interlocuteur est dans une situation difficile…
Raison : Merci de nous avoir partagé ton opinion qui n’intéresse personne, Ironie, et au revoir.
Ironie : Oh, non, je reste. Je pense que le spectacle n’est pas terminé. Je regrette juste de ne pas avoir de pop-corn. … Oh, zut. Je n’aurais pas dû dire ce mot. Bon, ben à très vite.
Raison soupira de soulagement en voyant le visage de Juke-box se refermer et entamer Pop-corn.
Les pleurs d’Angoisse s’étaient calmés, de leur côté, grâce à un câlin de Fangirl.
Fangirl : Allez, souffle fort dans le mouchoir !
Angoisse prit le tissu en boudant.
Angoisse : C’est bon ! Je ne suis plus une enfant !
Raison : Bon, on reprend… Et on ne saute plus de passage sans l’accord du commandant, compris ? Dire que moi, on m’a refusé la suppression d’un morceau, tout à l’heure… Pfff…[…] Note : j’ai bien l’impression qu’il n’y a pas de canal lacrymal sur ce corps. Du moins le système d’hydratation des globes oculaires n’a pas d’accès à de grandes fontaines, comme chez les humains. Punaise, qu’est-ce-que j’ai envie de chialer, mais je n’y arrive pas. Ça fait encore plus mal.
Bon. Tentons de reprendre notre leçon de jardinage. Donc la parcelle de tomates n’a pas poussé correctement, voire pas poussé tout court, mais la place n’est pas vacante, puisque d’autres plantes y ont poussé. Celles de l’égo, principalement.
Tout est dans le besoin de la satisfaction personnelle. Tout dans l’autosuffisance. Faire par soi, pour soi. Les autres ne sont qu’un outil pour obtenir ce qui est désiré, et le désir n’est pas un moyen de remplir un vide en soi. Il n’est pas ainsi par manque affectif ou quelque chose dans ce genre. C’est juste sa nature.
Je m’arrête là. J’ai besoin de me vider la tête.
Entrée 5 a écrit:Je visite le vaisseau dès que je peux, parce que… Ben parce que je ne sais pas trop quoi faire d’autre.
J’ai tenté de donner un coup de main en cuisine et au ménage, sous prétexte -justifié- de chercher des activités pour m’habituer à ce corps de métal, mais je leur fais trop peur. Ça s’est mal passé à chaque fois. Je ne suis clairement pas la bienvenue.
Je me sens terriblement seule. J’ai beau aimer la solitude, il y a quand même une limite à ce que je peux tolérer. Deux mois sans personne avec qui parler un minimum de tout et de rien, entourée d’inconnus tous plus dangereux les uns que les autres -potentiellement, et pas directement, puisque ce corps est plus puissant qu’eux, mais leurs mots dans la mauvaise oreille pourraient avoir de graves retombées sur mon avenir-, ça tourne à la torture mentale.
Et je ne peux pas rester avec Cold. Vu ce que j’ai appris sur leur façon d’être, c’est trop dangereux, et en plus ce genre de personnes me hérisse.
Et puis…
Qui de nous deux est le plus fort ? Qui de Cold et Freeza aurait l’avantage, non, la victoire dans un combat ?
Cette question commence de plus en plus à m’obséder. Si j’étais sûre d’être la plus forte, je serais plus tranquille, mais…
Quand Trunks est arrivé, seul Freeza a mouillé la chemise, pour se faire découper proprement en très peu de temps.
Là, Cold, voyant qu’il n’aurait pas le dessus, a tenté de soudoyer mon saiyen préféré, et a fini en un instant avec un trou au milieu du torse.
D’un côté, je me dis que c’est juste du scénaristique. Il fallait rapidement en terminer avec eux, pour bien montrer la puissance écrasante de Trunks et ainsi mettre en exergue celle des Humains Artificiels : Trunks, qui avait pourtant réussi à éclater la famille la plus dangereuse de l’univers en dix minutes chrono (parce qu’il y était allé coolos tranquillos), était totalement impuissant face à eux, au point de chercher à modifier le passé pour tenter d’avoir une chance, au moins dans une ligne temporelle.
A partir de là, on peut imaginer deux choses (et peut-être plus, si j’avais pris la peine de lire tous les sujets sur la question sur le forum…). Ok, JE peux imaginer deux choses :
*Cold est réellement inférieur à Freeza, et il a "baissé culotte" face à Trunks, préférant la ruse à un affrontement perdu d’avance.
*Cold est supérieur à Freeza, et aurait pu tenter de combattre en évoluant, mais ça n’a pas été retenu pour passer vite fait à la suite, qu’importe que le résultat final eût été le même.
Fangirl : Dites, et si on abrégeait la suite ? Ce n’est plus intéressant, on n’y parle plus de Trunks…
Raison : Ça ne va pas, la tête ?? Écourter mon chef-d’œuvre ? Ma réflexion profonde et poussée sur nos chances de survies face à l’autre olibrius ?? On continue !Après, il y a le fameux combat de la ligne temporelle où Trunks n’apparaît pas, et où Vegeta est là grand victorieux. D’ailleurs, si je me souviens bien (et avec l’espoir que ça ne fasse pas partie des fausses informations obscures trouvées dans les magazines des années ’90, comme cette histoire comme quoi Vegeta est le 33e prince saiyen…), Vegeta était censé atteindre le stade de super saiyen lors de cet affrontement. Info à garder avec des pincettes.
Quoi qu’il en soit, dans cette ligne temporelle, Vegeta finit sûrement par battre en premier Freeza, Cold ayant visiblement tendance à laisser faire son enfant pour des questions d’honneur
(parenthèse au passage : j’ai oublié de souligner un petit peu plus haut que Cold, quand il "invite" Trunks à entrer dans sa "famille" montre le même style d’attachement que j’ai ressenti en Freeza : tu es utile, je veux bien te reconnaître en tant qu’égal ou presque, et je me servirai de toi tant que tu ne m’auras pas prouvé que tu es bon à jeter. Et aussi le fait "d’investir" dans l’autre tant qu’on voit qu’il lui est possible de retrouver sa valeur. Sans quoi Cold ne m’aurait pas gardé en vie. N’aurait pas gardé Freeza en vie après sa cybernétisation. ET il avait peur de Trunks, oui, je sais.)
Donc je disais que Cold avait laissé Freeza combattre seul pour l’honneur, et peut-être aussi pour qu’il surmonte son trauma lié à Gokû. Et ce qu’importe que ce soit face à Vegeta ou à Trunks.
Mais une fois Freeza éliminé…
*soit Cold est moins fort, et même s’il est sûrement crevé, Vegeta arrive à gérer le monstre et à l’éliminer, sûrement aidé de Kulilin, Yamcha, Ten Shin Han et compagnie Piccolo (désolée, Piccolo, de te traiter de "compagnie" alors que j’ai fait le tour… Sans Gohan, ah, zut… Ils étaient combien ? 7 ? 8 ? 9 ? Qui j’ai pu oublier ? Je crois que j’ai tout le monde, dans les combattants.),
Fangirl : Tu es vraiment
sûr que tu veux lire la suite ? Parce que pour moi, elle est un peu inutile…*soit Cold est plus fort que Freeza, et… Et j’aurais vraiment dû aller lire ce qui s’est dit sur le sujet, parce que le fait que Vegeta doive gérer une puissance encore plus phénoménale après celle de Freeza me laisse perplexe. Même avec de l’aide. Et il n’a jamais été dit que Gokû s’était téléporté pour l’aider. Il me semble. Même si quelque part, c’est l’hypothèse la plus plausible. Cold se transforme, le groupe est dépassé, Piccolo et Vegeta mis probablement K.O., et là Gokû, tout frais, arrive et termine le boulot.
Sauf que ça ne colle pas, puisque dans ce cas comment Bulma aurait pu donner les coordonnées du point d’atterrissage du monoplace ? Ils n’en ont plus rien à faire… Et j’ai bien le souvenir comme quoi il est dit qu’ils ont géré sans Goku. (jeu de mot pourri inside.) ((ok, après relecture, je vois que je l’ai fait 2 fois de suite, avec père et fils, cette blague pourrie, sans même m’en rendre compte. Super. Alzheimer iz in za place.))
Quelque part, cela me fait pencher sur l’hypothèse que Cold est moins fort que Freeza.
Fangirl : Tout ça pour en arriver là…
Raison rougit de gêne.
Raison : Oui, ben… Il fallait bien explorer toutes les pistes à fond pour être sûr d’arriver à une conclusion à peu près correcte, hein.
Fangirl : Ouaiiis, ouaiiis…Sauf que j’ai trop peur pour tenter de vérifier.
Déjà, je ne sais pas me battre, moi.
Ni utiliser le ki.
Si je fais quoi que ce soit qui viendrait à contrarier Cold, je ne sais pas comment je pourrais faire.
J’ai vraiment la trouille.
Vivement qu’on soit arrivés sur Terre.
Oh, j’allais oublier d’écrire que je viens de découvrir un coin vraiment paumé, dans le vaisseau, où un groupe fait de la musique…
Ça aussi, ça me manque tellement… Je suis restée les écouter, cachée, jusqu’à ce que je les entende bouger. Je vais y retourner dès que possible.
(Au moins ma trouille de Cold me permet de moins chouiner sur ma solitude. A tout malheur… =__= )
On frappa à la porte.
« C’est l’heure du rendez-vous. »
Elle ferma son carnet et le rangea sous son matelas, un sourire sur le visage.
« Super ! »
Elle attrapa un baluchon et sortit dans le couloir.
*******
Voilà...
J'espère que vous ne regrettez pas trop le voyage...
Air Heika a été heureuse de vous accueillir et espère vous revoir prochainement sur ses
lignes...
Nota : je voulais vous mettre la version chantée de Pop-corn, telle que je l'ai sur le 45 tours, mais je n'ai trouvé que cette version instrumentale

(mais qui est celle que j'ai aussi en face B.)
Ah, et j'allais oublier : bon, j'ai quand même tenté de rajouter des sauts de lignes, finalement.
Et là, quoi qu'il arrive, je ne reprendrai pas une troisième fois ce chapitre.
