Nimitz a écrit:NON aux divorces !
les enfants doivent tjrs avoir deux parents !!!
c'est pour leur bien-être !! il faut pas jouer avec eux comme si c'était de la marchandise ! tu fais un gosse t'assume, il a besoin de ces deux parents l'enfant !
NON aux divorces !!!
la femme a la maison ! elle doit s'en occuper et l'élever pendant que l'homme travaille !
Je pense que les femmes n'auraient jamais dû commencer à travailler. C'est mauvais pour l'équilibre des enfants de ne pas avoir leurs mamans à la maison. En fait, à notre époque, si personne ne s'en plaint, c'est parce que c'est une sorte d'aliénation mentale qui se crée par obligation.
+ 100000 !
Bon juste une chose pour pas que l'on parte n'importe ou. "Non au divorce" signifie juste que tu pense qu'il est normal d'avoir le droit de divorcer mais qu'il ne devrait pas le faire nécessairement ? Ou tu penses qu'ils ne devraient même pas en avoir le droit ?
Parce que il y a la morale et la justice, la morale c'est quelque chose de discutable, la justice c'est des textes de loi sur lesquelles on se met d'accord et qu'on se doit d'appliquer pour pouvoir vivre ensemble. Je reviendrait là dessus, mais avant ça je vais m'attaqué à ton argumentaire tout bonnement démagogique...
Alors le divorce fait du mal à l'enfant, donc faut pas divorser pour l'enfant..
C'est un sophisme.
Tu dit que s'ils divorcent, l'enfant souffre et personne ne va te contredit mais ensuite tu conclus comme si la logique voulait nécessairement qu'a l'inverse "s'il ne divorce pas, personne ne souffre".
Cela revient à dire :
Tous les chats sont mortels
Socrate est mortel
Donc Socrate est un chat.
Chaque cas est différent, parfois, le divorce est la solution la plus approprié, parfois cela est mieux que d'avoir ses parents qui se "battent" à longueur de temps. Ce qu'il faut se poser comme question c'est : qu'est ce qui est le mieux, ou le moins pire pour l'enfant, et cette question se pose dans la plupart des couples contrairement à ce que tu penses. Simplement la réponse n'est pas toujours "restons marié !".
Pour en revenir au notion de morale personnelle et justice, je pense que cela fait parti des choses dont il faut discuter dans l'intimité, et que la justice n'a rien à faire ici. Je ne vois pas des parents aller voir un juge et leur dire : voila on à un gosse mais on s'entend pas, voila comment les choses se passent.. Puis attendre sagement que cette personne extérieurs à tout ces problèmes, inconnu de l'enfant conclu "vous devriez ou non divorcer".
De la même manière, je conçoit que l'on souhaite que la femme soit à la maison, mais est ce que ça doit se décider à un niveau national ou est ce qu'on en laisse l'opportunité ?
Dans des régimes totalitaires, on impose tout un nombre de chose, et il y a parfois beaucoup de positif qui en ressort sur le plan économique par exemple, maintenant on sait aussi qu'il ne fait pas toujours bon vivre dans ces régimes. Qu'est ce que l'on veux, qu'on nous imposent tout pour que tout roule ? Ou on part du principe qu'on est libre de nos choix mais dans ce cas on s'expose effectivement à bien des problèmes. Et là il n'y a plus tellement à argumenter, la réponse est subjective et propre à chacun. De la même manière, notre corps, on peut considérer qu'ils nous appartient ou on peut considérer qu'on en est tributaire, la réponse n'est pas la même pour tous et subjective, mais de là en découle ce que l'on peut faire, de là on peut se dire : oui on interdit ou non certaine substances. C'est tous ces postulat sur lesquelles il faut se mettre d'accord pour faire le reste. Le problème que j'ai ce n'est pas l'adoption d'un principe plutôt qu'un autre, mais le fait que dans notre société rien est cohérent. On entend par exemple tout le monde dire "Mon corps m'appartient" mais bon faut interdire aux gens telles ou telles choses pour leur sécurité à eux seulement parfois.