Lalilalo a écrit:concentrez vous sur les arguments.
Xehanort a écrit:Bon pour la dernière fois les mecs, le meurtre d'un être humain qu' il soit un garçon ou une fille, c'est la MÊME chose !
Xehanort a écrit:Je vois aucun raison de faire une quelconque différence dans la peine appliquée à savoir la Peine de Mort ! ...... Quoi à la fin ? j'ai rien dit à la fin.![]()
Xehanort a écrit:Et aussi arrêtez d’embêter la France avec les droits de la Femme, je suis sur qu'il as mieux que nous, mais il y largement pire, aller plutôt faire chier l'Iran ou l'Arabie Saoudite, pourquoi personne ne critique l'Arabie Saoudite ? Serait ce parce que c'est un Pays Musulman et dés qu'on critique les musulmans on est ms dans la même catégorie que Eric Zemmour ? Ou alors c'est le Pétrole, oui ça doit être le Petrole, faut pas critiquer les pays pétrolier, je dois être un peu débile d'avoir poussé la question, je dois avoir trop joué à Pokémon.
pourquoi personne ne critique l'Arabie Saoudite ?
Foenidis a écrit:C'est un peu con ces circonstances aggravantes pour telle ou telle raison... une victime est une victime, point. Je trouve dérangeant d'accorder plus de crédit à certaines catégories par rapport aux autres.
J'ai lu il y a peu l'histoire d'une jeune femme violée en réunion sur le prétexte d'être blanche, en plus du viol, elle a été sévèrement frappée et agonie d'insultes par rapport à sa couleur de peau or le tribunal a rejeté la circonstance aggravante raciste, ce qui n'aurait pas fait un pli si les couleurs des agresseurs et de la victime avaient été inversées.
Je suis une fille, mais imaginons que la compagne d'un de mes fils le tue... cette salope serait moins condamnée que si l'inverse avait eu lieu à cause de ce principe de circonstance aggravante ?
Il y a de quoi créer des drames : ce n'est pas une circonstance aggravante, n'est-ce pas, quand une femme tue une autre femme ? :mrgreen
Ce traitement judiciaire différencié, en apparence plus clément envers les femmes, repose en partie sur trois facteurs appréhendables statistiquement : la nature des infractions commises, la complexité de l’affaire (approchée par le nombre d’infractions) et le passé délinquant de l’auteur de l’infraction. En effet, la délinquance féminine est dans l’ensemble différente et moins violente que celle des hommes. Les femmes sont condamnées pour des affaires moins complexes et ont surtout deux fois moins souvent d’antécédent judiciaire.
La prise en compte simultanée du nombre d’infractions et de l’existence d’antécédent judiciaire réduit les écarts observés entre femmes et hommes, notamment pour le contentieux routier et l’usage de stupéfiants, où femmes et hommes font l’objet de sanctions identiques. Elle ne va pas jusqu’à les abolir pour les autres catégories d’infractions, notamment en matière d’atteintes aux biens ou aux personnes, pour lesquelles les femmes bénéficient de peines moins sévères que les hommes.
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