Heika a écrit:TOEJAM & EAAAAAAARL !!!
Je peux dire que je ne regrette pas mon achat de la Megadrive uniquement pour CE jeu !!
Et pourtant j'ai aimé les deux Sonic.
Et je n'ai eu que ces trois jeux.
Seulement trois jeux sur la Megadrive ??
Bon, trois jeux géniaux, mais quand même !
A titre de comparaison, j'en ai eu plus de trente ^^ Et je connais des gens qui en avaient bien plus que ça.
Mais c'est le jeu qui t'a fait acheter la console ? Comment tu l'as découvert du coup ?
Heika a écrit:Non, mais pour T&E, tu laisses ton cerveau au vestiaire, et tu remplis l'espace vide de cette réalité sans sens commun avec notre sens commun.
Rah, le fantôme "Boogey Boogey Boogey", quelle plaie ! XD
Les essaims d'abeilles, aussi, et tous les "Outch !" que pouvait pousser le perso harcelé dans sa fuite.
Et le son quand ils mangent quelque chose.
Et...
Et le meilleur joueur chez moi était...
Ma mère !
Et elle l'a termineeey !!
Et j'étais absente. Et elle l'a terminé une seconde fois, mais j'étais encore absente. Mais mon frère est témoin d'au moins une réussite.
Les cadeaux, c'était génial ouais, mais rageant parfois, quand on tombait sur un malus (genre le nuage qui te suit et te balance des éclairs, ou le fromage moisi qui te retire de la vie). Il fallait connaître les paquets cadeaux par coeur pour pas se foirer. Par contre, quand tu tombais sur les baskets ou les ressorts, t'étais trop refait !
Marrant que ta mère y ait joué, la mienne passait devant la télé sans même regarder ce qu'on faisait ^^
Heika a écrit:Oh, Dungeon Keeper !
J'y ai joué sur notre premier ordinateur, aux débuts des années 2000
Par contre, je ne suis pas sûre que ce soit le premier, à lire les commentaires...
Et comme le PC neuf avait Alzheimer (AKA les clusters qui claquaient un peu plus à chaque vérification de disque dur, jusqu'au jour où il a cessé de s'allumer...) ben adios, jeu que j'appréciais. :/
Ca dépend, tu bichonnais des araignées, des dragons et des orcs (avec la peau rose) ? Ou alors des gobelins, des anges noirs et des salamandres ? ^^
J'ai réussi à faire fonctionner le 1 en le téléchargeant sur abandonware et en bidouillant 2/3 bricoles. Le 2, pas essayé.
Heika a écrit:"Mon" Mario Kart, le meilleur, c'était le premier, sur le SNES.
J'aime aussi celui de la Switch. ^^ Mais sur SNES, da best <3
(je n'ai eu que la NES, SNES, GB, 3DS et Switch.)
J'ai très peu joué au Mario Kart de SNES, mais oui, c'était le pionnier d'une magnifique licence. J'ai adoré celui sur Gamecube aussi, avec 2 personnages par kart, les possibilités de gameplay étaient dingues. Mais bon, c'est pas un jeu rétro pour moi, donc je vais pas en parler ^^
Heika a écrit:MarioLand 2...
Etrangement, je ne me souviens pas l'avoir eu, ni même y avoir joué.
Par contre, Marioland, oui, et j'aimais.
Mais en fait, en cliquant sur le lien de musique joint...
Mais... Mais cette ambiance... Mais si, je te connais, toi...
Pour le coup, le seul souvenir que j'en ai, c'est d'un jeu étrange à l'ambiance aussi effrayante qu'un goûter d'enfants pour Halloween : on aime à se faire peur et à trembler.
Je ne sais absolument pas pourquoi je l'associe à Halloween...
C'est amusant, d'ailleurs, que tu aies mis un gif sur Pumpkin Zone... ^^'
J'y ai joué.
Je reconnais TOUTES les musiques.
Mais je ne me rappelle pas du jeu en lui-même.
Alzheimer.
Héhé, moi aussi dans mes souvenirs, je confondais Mario Land 1 et 2 avant de refaire des recherches dessus.
Pumpkin Zone, c'était ma préférée ^^ La musique que j'ai postée vient du niveau du cimetière, aussi dans Pumpkin Zone. Peut-être que toi aussi, cette section du jeu t'a marquée et que tu l'associes à Halloween maintenant
Antarka a écrit:Toejam & Earl :
À ma grande honte, j'ai découvert vraiment ce jeu en juillet dernier. Pas connu à l'époque. Mais y'a quelques mois avec mon frère on cherchait un jeu à se faire à 2 sur la méga drive Mini, et après avoir torché Street Fighter 2 et Road Rasheed 2, on a lancé celui la.
Et il est vraiment drôle, vraiment bon, on l'a terminé en 2h par contre
Moi aussi je l'ai refait récemment, et je l'ai torché assez vite. Dans mes souvenirs de gosse, c'était ultra long et ultra dur ! En fait pas du tout, mais j'ai toujours autant rigolé. Les ennemis sont vraiment WTF au possible. Et les extraterrestres rappeurs qui se crashent sur Terre, je trouve l'idée tellement géniale.
Quand le 2 est sorti, j'étais super heureux. J'ai vite déchanté quand j'ai vu que c'était du scrolling horizontal. Même s'il est bien dans son style aussi, je voulais trop une suite dans le même genre du premier, du coup j'ai pas accroché.
Rayman (PC, 1995)
Type de jeu
Condensé de féérie, plus magique que tous les contes existants réunis.
Premier contact
Encore trop jeune pour décider des jeux qui se retrouvaient installés sur l’ordi de mon beau-père, j'ai découvert Rayman un peu par hasard, tout comme Worms et Wipeout. Comme je testais tout ce qui passait à ma portée sans rechigner et que je me souviens de ce titre, c'est qu'il m'a un minimum marqué. Forcément, beau-papa l'avait acquis pour ma petite sœur, mais manque de bol, elle n'a pas accroché. Tant mieux pour moi, ça m'a laissé tout le loisir de le découvrir tranquille.
Retour sur expérience
L’arrivée des PC dans les chaumières a permis l’émergence d’un paquet de nouveaux genres de jeux vidéo, qui ont éclipsé les valeurs sûres que l'on croyait immuables encore quelques mois plus tôt. Les plateformers ont fait partie des plus touchés. Pourtant, Rayman a résisté avec brio à l’avalanche de RTS, FPS et jeux de gestion qui se sont succédés, sans lui faire d’ombre du tout. Un grand bravo aux gens qui lui ont donné vie en respectant les codes du genre, tout en lui faisant subir plusieurs petites révolutions. Parmi les plus importantes, le personnage qui évolue et gagne de nouvelles aptitudes au cours de son aventure. En tout cas, voir cette feature ailleurs que dans un RPG classique m'a paru tellement dingue, qu'il m'a fallu plusieurs années pour m'en remettre. Pourtant, je l’avais déjà vue ailleurs avant, notamment dans Mystic Defender, mais c’était pas pareil !
Flashback spécial ambiance
Au-delà des apports aux gameplay, ce qui porte Rayman au statut de légende reste sans conteste sa patte graphique. Dès les premières secondes, cette vie qui déborde des décors, aussi bien au premier qu'au second plan, m'a subjugué au point que je ne m'en suis remis que plusieurs années plus tard (comme pour le système d'évolution, oui). Jusqu'alors, si un truc bougeait dans un jeu, cela indiquait soit un objet à utiliser, soit un ennemi à tabasser (quoique ça se discute dans Ecco the Dolphin mais bon, sous l’eau ça ne compte pas). Dans Rayman, les fleurs dansent, les papillons volettent dans la bonne humeur, tout un tas de machins gigotent... L’immersion en ressort décuplée, sans perturber l'expérience de jeu d'une seule antenne de sauterelle. Pourtant, là aussi d’autres jeux l’avaient fait avant, comme Sonic, mais c’était pas pareil !! En vérité, je ne suis pas allé bien loin dans Rayman, voilà pourquoi je ne parle que de la forêt et des jolis champignons qui sautillent. Mais la magnificence des premiers niveaux ont largement suffi à me faire voyager.
Réécoute de la bande-son
L'OST pourrait se résumer de cette manière : un répertoire de merveilles qui enchantent les oreilles et transforment les niveaux de jeu en formidables balades oniriques. Rien que ça, ouais. Au cours d’une partie, j'ai souvent arrêté de jouer un moment parce que je me mettais à secouer la tête, les yeux fermés, transporté par toutes ces jolies mélodies. J'attendais d'être tout seul pour faire ça, quand même. Là encore, je ne parle que des premiers morceaux, car je ne connais même pas les suivants ! Avec du recul, je suis quand même passé à côté de jolies choses.
Moment Nostalgie
L'ordinateur familial a migré de la chambre parentale au bout du couloir à peu près au moment de l’arrivée de ce jeu. Ça bloquait la moitié de l’accès à ma chambre et à celle de ma petite sœur mais au moins, le PC n'était plus remisé au fond de l'antre lugubre de mon beau-père. Cette oppression malaisante écartée, j'ai pu apprécier les sessions de jeu de manière totalement nouvelle, presque aussi tranquille que devant la console, qui était installée dans le cocon protecteur qui me servait de piaule. À l’instar de la luxuriance des niveaux traversés par Rayman, un vent de liberté a soufflé sur ma nuque ce jour-là.