par Foenidis le Jeu Nov 17, 2011 22:27
Oui j'en parle.
Parce que dès qu'on y fait attention, on se rend compte que notre société est gangrénée par le catholicisme pour ce qui concerne la société française, tout comme d'autres sont sous le joug de l'islam de par le monde.
Parce qu'aujourd'hui, plus de deux cents ans après la révolution française, le pape ose encore se mêler de notre vie politique, que des intellectuels sont menacés de mort par des intégristes religieux... et que personne ne réagit.
Les moutons sont trop bien dressés.
Je suis pour l'abolition des religions dites monothéistes !
Il devrait être d'utilité publique de détruire les lieux saints à Jérusalem. De là est parti le mal il y a environ deux mille ans.
Ces gangrènes responsables de centaines de millions de morts...
Les lois anti-sectes sont censées nous en protéger, mais ne sont pas appliquées.
En France, aujourd'hui, sont servis dans des restaurants publics de la nourriture taxée par des religieux, en dépit de la loi française et sans que la majorité des consommateurs s'en doute... que fait notre gouvernement ? Rien.
Les crimes pédophiles seraient-ils aussi tabous si le clergé n'était pas aussi fortement impliqué ?
Je me le demande.
Oui je suis radicale pour certaines choses.
Pour tout ce qui touche aux enfants : pédophilie, proxénétisme, torture, assassinats... je suis POUR le retour de la guillotine dès que ça touche un gosse.
Penser que je paie des impôts pour nourrir et entretenir de tels monstres me démonte. Des monstres qui recommencent de plus belle dès qu'ils ressortent... et avec des remises de peine encore !
La principale condamnée d'Outreau, reconnue coupable de viol et de proxénétisme sur des dizaines de gosses, dont les quatre siens, est déjà libre...
Où est la justice ?
STOP !
La guillotine, c'est simple, pratique, économique, rapide et sans douleur qui plus est pour le condamné.
Assez radicale là ?
Le futur me donne un peu trop souvent l'impression d'avoir les mots de Dante « Vous qui entrez ici, abandonnez toute espérance » gravés en lettres sombres sur son fronton.