nouveau chapitre.
Chapitre 51 : rassemblement.Kakarotto et son adversaire étaient arrivés dans le désert et se faisaient face.
Le saiyan se mis en garde.
— Quand tu veux !
Le cyborg le regarda et sourit.
— Avec plaisir.
Il disparut soudainement. Kakarotto se retourna et para le coup sans effort. Le saiyan répondit par un coup de pied qui fit reculer l’ancien soldat du ruban rouge.
Celui-ci envoya une boule d’énergie vers son adversaire, prêt à réagir, qu’il l’évite où la dévie.
Mais Kakarotto frappa la sphère, la renvoyant vers le cyborg qui n’eut pas d’autre choix que de la réabsorber.
Mais au moment où la dernière parcelle d’énergie disparaissait, il reçut un formidable coup de poing au visage qui le propulsa vers une falaise proche.
Il se rattrapa et prit appui sur la roche pour repartir mais le saiyan avait disparu. Avant que le numéro 25 n’ait le temps de le chercher, il encaissant un coup de genou à la tempe qui l’envoya dans un promontoire rocheux.
Kakarotto regardait le point de chute du cyborg, prêt à réagir.
La partie haute de la colonne de pierre se souleva, portée par N25.
— Ok, tu commences à m’énerver. Dit celui-ci avant de lancer l’immense rocher sur le saiyan.
Qui répliqua en envoyant un kaméhaméha pour le désintégrer.
Mais avant que la vague d’énergie ne le touche, le rocher se brisa et le cyborg en sortit après être passé au travers et il absorba l’attaque.
— Merci abruti.
Il arriva sur Kakarotto et commença à le marteler de coups. Puis profitant du fait que son adversaire était légèrement sonné, il passa derrière et lui saisit la tête pour absorber sa force.
Le saiyan se débattit un instant avant que ses cheveux ne redeviennent noirs et que son corps devienne inerte.
— Quoi, c’est tout ? T’es juste un feu de paille, en fait.
Il posa sans douceur son ennemi inerte au sol.
— T’as de la chance que numéro 20 m’ai interdit de te tuer.
— Pou…pourquoi ?
— Ah, tu m’entends ? Hé ! Il veut te tuer lui-même, et seulement après que tout tes amis soient morts. Et deux cyborgs contre ton père et deux contre ton fils, pour plus de sureté. Tu vois ? Tu n’aurais jamais dû de dresser contre l’armée du ruban rouge.
Kakarotto resta silencieux quelques secondes, puis, prenant appui sur les mains, il se releva en un rapide saut vers l’arrière. Il repassa en super saiyan.
— Oui, je vois.
— Quoi ! Mais j’ai absorbé toute ton énergie.
— Je contrôle parfaitement ma force. J’ai juste eu à annuler ma transformation et baisser mon énergie au minimum.
— Que… Espèce d’enfoiré ! Hurla le cyborg en lui fonçant dessus.
Kakarotto attrapa les poignets de son adversaire et joignit ses deux pieds pour lui donner un violent coup dans le torse. Le numéro 25 eut les bras arrachés par la violence du choc et alla percuter une falaise plus loin.
Il émergea de la roche avec difficulté et vit le saiyan en train de se préparer.
— Si ce que tu dis est vrai, je n’ai pas de temps à perdre avec toi. Kaméhaméha !
Le cyborg hurla de terreur avant d’être désintégré.
Mettant deux doigts sur son front, Kakarotto se concentra pour trouver les énergies de Goku et de Baddack. Elles étaient au même endroit mais semblaient assez faibles.
— Vite ! dit-il pour lui-même.
Mais au moment d’utiliser sa technique de transfert instantané, Les deux énergies disparurent.
— NON !
Affolé, Kakarotto chercha à nouveau, et détecta leurs énergies.
Soulagé, il comprit qu’ils s’étaient téléportés.
Il remarqua aussi l’énergie de Végéta.
Il disparut aussitôt pour aller à Capsule Corp..
Végéta avait son poignet droit tenu par le cyborg et il sentait son énergie diminuer.
Avec sa main libre, il frappa celle de son adversaire pour lui faire lâcher prise, mais Gero saisit son deuxième poignet.
— Ton arrogance te rend prévisible, imbécile.
Le prince des saiyans hurla de rage et, intensifiant son énergie, donna un coup de genou au bras droit du numéro 20. Le choc fit lâcher le cyborg.
Végéta envoya un kikoha à bout portant vers le bras droit de son adversaire pour le désintégrer. Mais Gero lâcha la main du saiyan et absorba l’énergie de l’attaque.
Végéta, libre, donna un coup de pied pour l’envoyer valdinguer avant de foncer sur lui.
Le cyborg tenta de l’attraper de nouveau mais rata, surpris, il reçut un coup de poing à la tête. Il recula pour faire un diagnostic.
— Merde.
Son avant-bras gauche avait été tordu et l’articulation de son poignet voilée. Il avait perdu plus de la moitié de sa précision.
Mais il fallait plus que ça pour l’arrêter. Il avait absorbé une bonne quantité d’énergie de Végéta, qui s’était ajouté à celle de Son Goku. Il pouvait attaquer à distance.
— Allez ! Viens te battre. Cria Végéta.
— Comme tu veux. Répondit Gero en tendant le bras.
Mais avant qu’il puisse faire quoi que ce soit, Son Goku, soutenant Baddack, apparu aux côtés du prince des saiyans.
— Gero ! Cria le métis.
Baddack se dégagea pour permettre à son petit-fils de se transformer.
— Comment avez-vous réussi à échapper à mes cyborgs ?
— Nous échapper ? Qu’est-ce que tu crois, on les a battus. Ton piège foireux n’a pas marché. Dit Baddack.
Le cyborg remarqua en effet qu’il était grièvement blessé, c’était vraisemblable.
— Ne vous mêlez pas de ça. Cracha Végéta.
Sur ces entrefaites, Kakarotto se matérialisa à côté de son fils.
Gero tiqua. Il pensait bien que son ennemi gagnerait contre un cyborg, mais pas aussi vite.
De plus, s’il pouvait vaincre végéta seul, il aurait du mal contre trois super-saiyans en pleine possession de leurs moyens ou presque. Ça commençait à sentir mauvais pour lui.
— Merde ! C’est le chef de ces tas de ferraille !
Tous regardèrent qui avait crié ça. Il s’agissait de Nappa, qui arrivait en tête du groupe composé de Raditz, qui soutenait Ten Shin Han, et de Yamcha, qui portait Krilin.
— Vous êtes tous en vie ? Cria Bulma en sortant du bâtiment dans lequel elle était cachée.
Gero sourit. Même si ça ne marcherait pas avec Végéta, ça fonctionnerait sur les autres.
Il tira une boule d’énergie en direction de la vice-directrice de Capsule Corp. . Puis il enchaina par une attaque vers Raditz et une vers Yamcha. Et sans regarder le résultat, il s’envola.
Kakarotto hurla en fonçant vers le groupe qui venait d’arriver.
— Goku, protège Bulma !
Mais alors qu’il rattrapait les attaques, il se rendit compte qu’il ne pourrait pas stopper les deux.
Il vit soudain son père se matérialiser devant son frère en se transformant. Il alla donc bloquer celle qui visait Ses condisciples de la Tortue.
Les trois boules explosèrent. Si Kakarotto et Goku résistèrent sans mal, ce ne fut pas le cas de Baddack qui avait usé de ses dernières forces. Il chuta, inconscient.
Pendant ce temps, Gero s’enfuyait.
— Où tu crois aller comme ça ? Cria Végéta derrière lui.
Le cyborg se retourna. Exactement comme prévu. Il tira sur le saiyan qui dévia l’attaque.
Mais Gero émis un flash de lumière aveuglante qui surprit Végéta. Il tira de nouveau, mais plus fort, projetant le prince vers le sol.
Puis il rassembla toute l’énergie qui lui restait pour envoyer une boule d’énergie concentrée.
— J’en aurais au moins quelques-uns. Murmura-t-il.
Mais un rayon d’énergie frappa l’attaque du cyborg par le côté et la dévia. La boule d’énergie partit vers l’horizon où elle explosa.
Gero se retourna pour voir qui avait fait ça.
— Piccolo !
Le namek se tenait non loin. Et le cyborg n’avait plus assez d’énergie pour l’affronter. Il tira sur le nouveau venu qui para sans problème et profita de la diversion pour aller au sol, avec l’intention de fuir par les rues.
Piccolo le chercha mais les cris de panique des habitants l’empêchaient d’entendre correctement.
Et il n’était pas non plus en grande forme. Il continua vers le siège de Capsule Corp. .
Épilogue.
Dans une rue dévastée d’Orange City.
— Réveille-toi, ma chérie, tu vas bien ?
— Papa ? Qu’est-ce qui s’est passé ?
— Je ne suis pas sûr. Mais le criminel était un robot, regarde. Mes coups ont dû le détraquer et il a explosé. Et ça nous a assommés. Oui, ça doit être ça.
— En fait…
Mais la fillette se tut. Comment pourrait-elle expliquer qu’un enfant de son âge, capable de voler et d’envoyer des éclairs, avec les cheveux qui changent de couleur et une force incroyable avait vaincu le robot. Son père ne la croirait jamais.
— … C’est ça, oui.
— Ha ha ha ! J’en étais sûr ! Je ne suis pas le grand champion pour rien !
L’homme regarda une fois de plus le corps du cyborg et tendit la main à sa fille.
— Allez, viens, Videl, ta mère doit s’inquiéter.
À suivre…>>>