broly97 a écrit:
Au fait tes cyborgs 17 et 18 ils ont la mentalité des cyborgs du futur de trunk, ou ceux du présent dans DBZ ?
Pour le savoir, il te suffit de lire le chapitre qui suis.
Chapitre 60 : Le guerrier namekLe Tout-Puissant observait les cyborgs avec sa vision divine. Tant de morts. Ils venaient de raser une autre ville après avoir tué les habitants un par un.
Sur l’esplanade du palais, les invités se reposaient. Entendre l’histoire de Kakarotto leur avait permis de penser à autre chose pendant un moment, et c’était mieux ainsi, car l’avenir s’annonçait sombre.
La force de ces cyborg était telle qu’il doutait que Baddack et Végéta puissent en venir à bout.
— Où en sont-ils ? demanda Kakarotto.
— Ils viennent de raser la ville de Reef et ils se dirigent vers le village de Provo. Ils ont fait des milliers de morts. Des dizaines de milliers.
— j’espère que Papa et Végéta vont vite sortir.
Kami-Sama préféra ne rien dire sur ses doutes.
— Attendez un instant ! S’exclama Bulma.
— Qu’y a-t-il ?
— Vous dites qu’ils vont de Reef à Provo. Mais s’ils viennent de la capitale du nord, ça veut dire qu’ils se dirigent directement vers la capitale de l’ouest.
— En ligne droite, oui. Lentement, mais inexorablement.
— En même temps, c’est pas grave, on est tous là. Dit Yamcha.
— Bien sûr que c’est grave ! Ils vont massacrer tous les habitants.
— On les ressuscitera avec les dragon balls.
— Mais on ne peut pas, justement. Vous avez oublié ? La plupart des habitants de la capitale de l’ouest ont déjà été ressuscités. Ils sont déjà morts une fois à cause de…
Elle se tut mais jeta un coup d’œil vers un recoin du palais, à l’écart. Là où se trouvait Piccolo.
Ce dernier se releva d’un bond et alla à grand pas en direction de Bulma, l’air furieux.
— Ça suffit, j’en ai plus qu’assez !
La directrice de Capsule Corp. sursauta et se cacha derrière Kakarotto.
— Allons, calme-toi, Piccolo. Dit le saiyan.
— Non, je ne me calmerai pas ! Vous m’accusez toujours de tous les maux.
— Mais bien sûr que non.
— Pas toi, mais elle, oui. Elle et tous les autres ! Il fit un grand mouvement du bras qui embrassa l’esplanade.
L’altercation commençait à attirer l’attention de la centaine de personnes qui se trouvait là.
— Monsieur Piccolo… Commença Son Goku mais le namek continua sa diatribe.
— j’ai donné ma vie pour sauver la Terre. J’ai combattu pour éliminer le plus grand fléau de la galaxie. Et qu’est-ce que je reçois ? Des insultes et de la méfiance. Comprend ça, Bulma, je ne suis pas mon père ! Je ne suis pas responsable de ce qu’il a fait ! Même avant de me ranger du côté de Kakarotto, je n’ai jamais affronté quelqu’un qui n’était pas capable de se défendre.
Bulma tremblait en s’accrochant au dos de son ami saiyan. Piccolo s’éloigna un peu pour s’adresser à tout le monde.
— Alors si vous avez des choses à reprocher à Piccolo Daïmao, mon père, adressez-vous plutôt à lui ! Conclut-il en pointant Kami Sama du doigt.
— Piccolo, s’il te plait. » Commença Kakarotto. « Je comprends que tu sois énervé, mais Bulma ne voulait pas …
— Il a raison.
Tout le monde se retourna d’un même mouvement vers le Tout-Puissant. Celui-ci regardait Piccolo.
— Je suis le seul et unique responsable des horreurs commises par le démon Piccolo.
Il avança dans le silence pour se retrouver face au saiyan.
— Quand tu lui as laissé la vie sauve, au tenkaishi budokai, J’ai cru que ta naïveté t’avait fait perdre le sens commun. Mais au final, c’est toi qui avais raison.
Il se retourna pour faire face au jeune namek.
— Piccolo, tu t’es montré meilleur que je ne l’ai peut-être jamais été. J’ai échoué en tant que Dieu. Il est temps pour moi d’assumer mes erreurs.
— Que… que comptes-tu faire ?
— La Terre n’a pas besoin d’un Dieu, dans l’immédiat. Elle a besoin d’un guerrier puissant pour la défendre.
— tu veux dire…
— Oui. Il est temps que Dieu et le diable ne refasse qu’un.
Le Tout-Puissant tourna la tête vers son serviteur.
— Mister Popo, je te confie la garde du palais en attendant qu’un successeur apparaisse.
— Tout puissant… Commença celui-ci, les larmes aux yeux.
Sans un mot, Piccolo plaça sa main sur le torse de son alter-égo qui se mit à briller. Une forte lueur illumina tout le palais, aveuglant les spectateurs qui, pour la plupart, ne comprenaient pas ce qui se passait excepté que c’était un évènement important.
Quand la lumière disparut, Piccolo était seul. Il regardait ses mains.
Son Goku observa son ami. Il était physiquement le même mais son visage arborait une expression de sérénité que le garçon ne lui avait jamais vu.
— Es-tu Kami-Sama où Piccolo ? Demanda Kakarotto.
— Les deux et aucun des deux à la fois. Je ne suis qu’un guerrier namek qui a oublié son nom. Mais vous pouvez m’appeler Piccolo.
— Qu’allez-vous faire, monsieur Piccolo ? Demanda Goku.
— Je vais détruire les cyborgs.
— Végéta va pas être content. Dit Nappa.
— Des gens meurent. Je me moque bien des états d’âme de Végéta. Répliqua Piccolo avant de s’envoler.
Les cyborgs arpentaient une rue vide. Ou plutôt jonchée de cadavres.
— Je pense qu’on a fini ici. Dit C17.
— non attends ! Tu as entendu ça ?
— Quoi ?
— Ça venait de par là.
La fille cybernétique entra dans une maison. Après avoir cherché un instant, elle s’approcha d’un placard et arracha la porte.
Une jeune femme se cachait là avec un bébé.
— Tu vois ? On avait pas fini.
— Je vous en supplie, par pitié, épargnez nous.
—Dans tes rêves. Dit C18.
— Alors laissez vivre mon bébé et faite ce que vous voulez de moi.
— Si tu crois que…
— Attend, petite sœur. Une telle abnégation, c’est magnifique. Quand tu penses que notre père nous a vendu pour sauver sa peau. Dit C17.
Il s’approcha de la jeune femme et lui caressa la joue.
— Je pense savoir ce qui te ferait souffrir le plus.
L’humaine était tétanisée. Il la jeta hors du placard avant de désintégrer le nouveau-né en riant aux éclats.
— NOOOON !
— Et maintenant souffre ! Ha ha ha ha ha !
Le cyborg sortit de la maison suivit par sa sœur. Elle désintégra le bâtiment.
— Non ! Pourquoi tu as fait ça ?
— j’aime pas laisser des humains en vie.
— Mais t’as pas compris, je voulais qu’elle se suicide, ça, ça aurait été marrant.
—T’es vraiment tordu. Bon, on va à la capitale de l’ouest ?
— Mouais, je sais pas si ton idée est la bonne.
— Le type vert avait parlé d’une Bulma, je suis sûre que c’est la fille du patron de Capsule Corp.
— Ils auraient quand même du venir, avec tout ce qu’on a fait.
— Ils ont les foies. Alors autant aller les chercher.
Une silhouette massive apparut devant eux.
— Tiens, on parlait justement de toi.
— Vous avez fait assez de morts comme ça !
— Mais non, on commence à peine. Dit C17.
— j’ai une question : Est-ce que la Bulma dont tu as parlé hier est celle de Capsule Corp ?
— Quelle question ridicule.
— Juste pour savoir si on allait dans la bonne direction.
— Sans importance. Elle est en sécurité avec les autres…
— j’te l’avais dit !
— Et vous allez mourir ici.
Les deux cyborgs regardèrent le namek, interloqués, avant d’éclater de rire.
— Trop drôle. » Dit C17. « Je vais m’occuper de toi, si tu insistes.
— Hé ! Tu veux encore jouer tout seul.
— Tu m’as pourri mon coup il y’a cinq minutes, alors, oui, je joue tout seul.
Piccolo enleva ses poids d’entrainement et se mit en garde.
— Ça me va parfaitement.
Piccolo avait du mal. Contre un seul, il avait sa chance, mais maintenant que les deux cyborgs l’affrontaient, il avait le dessous.
Il para un coup de pied de C17, mais C18 Le frappa par derrière. Il se retourna pour riposter mais C17 le toucha.
Il comprit qu’il ne pouvait pas gagner. Alors autant tenter le tout pour le tout.
Il envoya une décharge d’énergie vers le garçon et donna un coup de pied retourné à la fille. Les deux reculèrent.
Profitant du répit, il mit ses mains en cloche et concentra son énergie.
— Je te laisserais pas faire ! Hurla C17 en fonçant sur lui.
Juste avant l’impact, le namek se retourna et présenta son dos à son adversaire. C18 fonçait sur lui aussi. Il envoya son attaque qui toucha la cyborg de plein fouet, la réduisant en poussière, au moment où le bras de C17 lui transperçait le torse.La cuve de verre se brisa et le liquide qu’elle contenait inonda l’ordinateur qui se trouvait dessous, le court-circuitant. Toute les lumières du sous-sol s’éteignirent.
Sautant sur le sol trempé et jonché de bris de verre, Cell dit :
— Ça, ça ne m’arrange pas.
À suivre…>>>