Yeah ! Vraiment soulagé et content que ce chapitre vous ait plus malgré l'évènement central ^^ (En fait, je craignais aussi qu'on me reproche de "sentimentaliser" Cold avec la phrase de fin :p) Par contre, il a suscité pas mal de question, je vais y répondre.
San999 a écrit:Ooooooh! Friska??? Mère de Freeza et Coola ou bien? C'est ainsi que leur mère est décédée? Tuée par Guédester? Et c'est pour ça que Cold était tellement concerné par cette machine?
Max44a5 a écrit:Friska...La mère de Freezer et Cooler ? Tuée par le Gédester ?
(D'ailleurs, serait-ce une référence à Carnis ou c'est un truc officiel ?)
Eh bien oui, exactement. Friska est la mère de Freezer et Cooler. ^^ Et oui, ça vient de Carnis. En fait, je cherchais un nom (vous connaissez tous mon immense talent pour trouver des noms) et comme je ne trouvais pas, je me suis souvenu que j'avais des larbins pour ça. Donc j'ai piqué celui de SuperIdle qui me paraissait très bien. Et pis bon hein, il m'a piqué des persos, nan mais, donc je fais pareil. ^^ Je remercie donc SuperIdle pour l'idée.
San999 a écrit:Mais t'es sûr qu'assommer les gens suffit à les rendre indétectables?
Non, c'est pour ça que ça ne jouera pas là-dessus. Je voulais juste montrer qu'ils prenaient toutes les mesures possibles et imaginables.
broly97 a écrit:Wow super chapitre, avec la mort de Cold. Cependant, il devrait normalement revenir d'une manière ou d'une autre car il est présent dans ton "DBM vs Fanfic", à moins bien sûr que l'univers 8 que tu nous présetnte soit un What if de ta propre fic

(ce qui me dérangerais pas).
Max44a5 a écrit:Mais...Cold est présent dans le multiverse, non ? Et dans DBM VS Fanfic, aussi
Oui, je me doutais que vous le relèvriez. En fait, c'est un quasi What-if. A savoir un what if les Vargas seraient arrivés quelques heures avant les évènement du chapitre : ils auraient trouvés Cell, l'auraient pris avec eux ainsi que toute la clique. Puis on leur aurait indiqué qu'y avait deux mecs très puissants qui sortiraient de la Salle dans une journée ou deux. Donc voilà. C'est la solution de facilité ? Oui, mais je voulais avoir Cell + les deux autres en pleine forme. Et en plus, je ramène Cold qui est quand même classe :p
sonluffy-z a écrit:Idem j'ai été surpris de voir Varidal incapable de soigner Cold car elle a déjà soigné Anik ou Kalta dans des états pitoyables.
Alors oui, pour le pouvoir de Varidal, il a une limite qui est la régénération. Il peut soigner les plaies, réparer les organes, ressouder les os. Mais il ne peut pas faire repousser un bras. Or, je met une cage thoracique au même niveau qu'un bras. Varidal n'avait pas les compétences pour reboucher deux gros trous dans le torse ^^
Et donc ... nouveau chapitre ! Un peu spécial celui-là, j'espère qu'il vous plaira quand même. Je vous explique rapidement : il est très long pour un chapitre ordinaire (presque deux fois un chapitre "normal") parce que ... je n'arrivais pas à le couper correctement en deux. Je voulais donner une impression de vitesse tout en accentuant bien certains moments, donc voilà : un seul chapitre mais très long. Comme ça, j'espère ne pas donner l'impression que ça s'éternise tout en dévellopant les moments qui me semblent important.
Bonne lecture !
P.S : Pour ceux qui s'étonnent du rythme actuel : remerciez les OST de FMA Brotherhood qui sont TRES motivantes.
Chapitre 95 : Fuite éperdue.Karine n’aurait jamais imaginé qu’un être puisse contenir autant d’énergie en lui, ni qu’elle pouvait être à ce point maléfique. Pourtant, il avait entraîné durant des années Bra Brief, qui disposait d’une énergie colossale, et il avait connu une bonne partie de la famille de Cold, sentant leur énergie à travers l’univers entier. Mais même eux n’étaient pas aussi mauvais que l’être qui s’agitait en bas sous le bombardement. Son aura ne dégageait pas que l’envie de domination propre aux Colds, il y avait autre chose, de plus sombre, plus intérieur aussi. Une sorte de folie. Bra avait évoqué son objectif de voir le visage terrifié de ses ennemis, était-ce cela que le vieux maître ressentait dans l’aura du monstre.
A vrai dire, il ne tenait pas à le vérifier, pour l’heure : il semblait être arrivé à temps pour faire gagner du temps à ses compagnons. Même si, à ses yeux, il arrivait beaucoup trop tard. Bulma n’était plus. Ayant côtoyé cette femme durant de longues, et dures, années, il avait senti sa mort même perdue au milieu de tant d’autre, si éloignée de lui. C’était ce qui l’avait décidé à faire préparer un vaisseau ; il pouvait remercier les chefs rebelles de la confiance qu’ils plaçaient en lui.
- Vous tombez à pic ! Annonça celui qu’il reconnaissait comme étant Madri.
Le chat se permit un léger sourire et un frémissement de moustache, avant de reprendre la parole.
- J’espère bien. Foncez, nous allons vous couvrir, on vous rejoint.
Avec anxiété, il suivit du regard la progression du vaisseau sur un grand écran de la salle de contrôle. Dès que le vaisseau impérial eu réussit à s’extraire de l’attraction de la planète, il sembla se distordre soudain, puis disparaître. Un soupir de soulagement général emplit la pièce. Ils avaient réussi.
Mais une autre nouvelle allait vite gâcher la première.
- Maître Karine, commença un technicien. Nous n’avons plus rien à lui lancer, nos réserves d’énergies sont à sec.
Habituellement, un vaisseau ne perdait pas aussi vite ses réserves. Mais habituellement, il ne balançait pas tout ce qu’il avait face à une créature qui n’était même pas atteinte par un tel déferlement de force.
- C’était à prévoir, répondit simplement et doucement le maître félin.
Tous les soldats à bord acquiescèrent, ils s’étaient préparés à cela. Affronter un monstre pareil ne pouvait pas se solder par beaucoup d’issues, à part peut-être la mort.
- Mettez en place la procédure de fuite, demanda tout de même le vieux matou.
Après tout, il ne sentait pas que Cell sur la planète. Deux autres auras étaient présentes, pleines de détermination et de forces. Il en reconnut une, celle d’Ades, pleine d’une envie de revanche qui s’était estompée puisqu’il affrontait maintenant un autre monstre que les Colds. C’est en l’examinant que Karine perçut une dernière énergie, qu’il ne pouvait pas sentir autrement que par un mélange de détermination et de sens du devoir. Il était toujours étonné de sentir ainsi l’androïde A-2, qui avait pourtant prouvé à mainte reprise qu’il n’était pas simplement un ordinateur mais bien un être pensant, qui s’était fait une opinion claire. Karine pouvait à présent cette volonté, cette force, il voulait protéger l’univers.
Ces hommes, ces êtres, s’étaient volontairement sacrifiés pour les protéger tous. Le vieux matou ne les connaissait pas tous très bien, mais il les remerciait tout de même, saluant leur courage.
Cell avait parfaitement senti que les tirs se faisaient plus écartés, moins accentués, le vaisseau qui l’attaquait commençait à tomber à court. Et c’était tant mieux, il sentait l’énergie des milliers de soldats qui s’étaient enfuis s’éloigner, devenir moins précises, plus flous. Encore un peu et il ne pourrait plus se téléporter.
Dès que le bombardement cessa, il leva la main vers le ciel. Il voulait aller tuer tous ceux qui avaient tentés de lui échapper, savourer leur terreur. Mais d’abord, il allait en finir avec ceux qui avaient tentés de le retenir. Sa main tendu lâcha une petite boule d’énergie, pourtant largement suffisante pour faire exploser tout le vaisseau.
Maintenant que cela était fait, il pouvait se concentrer sur les énergies lointaines et … Cell écarquilla brutalement les yeux, se jetant en arrière. Juste à temps. La boule d’énergie qu’il venait de projeter en l’air était revenue, s’écrasant au sol à l’endroit exact où il se trouvait un dixième de seconde auparavant. L’explosion monumentale le rattrapa rapidement, il déploya sa puissance pour s’en protéger.
- Joli coup, commenta Taris en se tournant vers Olaf.
Les deux combattants lévitaient à plusieurs mètres au-dessus d’une rivière de lave. Ils avaient quittés le territoire colonisé par Guédester et se trouvait maintenant sur un terrain qui représentait parfaitement la planète telle qu’elle était depuis ses débuts. Une boule de lave et de roche en fusion. Bien évidemment, pour eux ou Cell, ce n’était en aucun cas un problème. Même Ades, perché sur l’épaule du grand androïde, semblait réussir à éloigner la chaleur étouffante de son corps au moyen de ses pouvoirs. Et avec cela, il arrivait encore à renvoyer une attaque de leur ennemi vers lui.
- Allez-y, répondit simplement le Général.
Aussitôt, les deux guerriers tendirent leur main dans la direction où ils percevaient Cell, et deux rayons d’énergie se mêlèrent en une vague blanche pour rattraper le clone avant qu’il n’ait pu se remettre du dernier assaut. Sans surprise, le rayon d’énergie fut renvoyé, vers le ciel encore une fois. Ades se permit un petit sourire, Cell ne perdait pas de vue ses objectifs. Néanmoins, Ades non plus. Le Stygien sauta de son perchoir pour se positionner derrière l’androïde, au cas où. Il dirigea sa puissance psychique sur le rayon et le ralentit, lentement, changeant sa trajectoire. Puis, lorsqu’il sentit que Cell lançait son deuxième rayon, après tout le premier n’était qu’une diversion, il lança l’attaque combiné sur celle de la créature. Les deux se percutèrent en créant une formidable explosion dans les cieux de la planète.
Plus haut encore, il sentit l’énergie du vaisseau rebelle s’estomper, puis disparaître de sa perception. Ils avaient réussis, eux aussi.
Cell sentit l’énergie du second vaisseau s’estomper. Il pouvait encore les sentir, mais lointains. Quant à celui des échappés, il n’arrivait plus à le percevoir, ne serait-ce qu’un minimum. Ils avaient bien joués leur coup. Alors que la fumée se dissipait lentement, la créature de Gero s’était installée sur un aplomb rocheux qui avait survécu aux explosions successives. Malgré sa presque-défaite, il ne pouvait s’empêcher de ressentir une certaine joie, voir un grand respect pour ses adversaires, en constatant qu’ils avaient réussis à retarder l’heure de leur mort. Leur ténacité faisait plaisir à voir, il n’aimait pas affronter ceux qui avaient déjà abandonnés.
C’est pourquoi lorsqu’il se téléporta devant eux, il affichait un large sourire et leur ouvrit les bras.
- Mes amis, content de vous voir ici. J’aurais été extrêmement triste de me retrouver seul sur une planète aussi déprimante. Nous pouvons continuer le massacre commencé avant le final que je prévois face à vos champions, qu’en dites-vous ?
Ils ne répondirent pas, mais se dispersèrent aussitôt. Cell prit ça pour un oui. Il bougea à peine, son regard améthyste suivant le trajet du Stygien, qui était celui dont il se méfiait le plus pour l’instant. C’est alors qu’il sentit cinq pointes d’énergie s’écrasées sur son corps, il sourit, se tournant lentement vers Taris.
- Encore cette vieille technique, demanda-t-il en déployant son énergie, pulvérisant trois des pics d’énergie.
Les deux autres s’enfoncèrent brusquement sous sa peau, disparaissant dans son propre corps.
- Que … ?
- Pas si vieille que ça, annonça le soldat de Cold en refermant brusquement ses deux poings devant lui.
Deux explosions simultanées se produisirent soudainement en plein cœur du clone, l’une d’elle détruisant l’articulation de son coude, l’autre détruisant ses organes internes au niveau du ventre. Cell ne sourcilla même pas, sa régénération déjà à l’œuvre pour réparer l’intérieur.
- Pas mal du tout, commenta-t-il.
Et il se retrouva d’un coup devant Taris, le frappant au torse de son moignon sanguinolent.
- Mais encore loin d’être suffisant face à moi.
La régénération fit son œuvre à une si grande vitesse que son bras tout neuf traversa le corps de son adversaire en se formant.
- Oups, sourit Cell, sadique.
D’un revers de la main, il arracha une bonne partie du torse du guerrier, ainsi qu’un de ses bras. Sous le choc, Taris tomba au sol, sans pour crier, à la grande déception de Cell qui trouvait étonnante la résistance de cet adversaire à la douleur.
- Je t’ai eu, prononça soudainement le guerrier prostré.
Cell amorça un mouvement de recul, dans la gueule du loup. Olaf était là, ses immenses bras attrapant le corps du clone pour le coller à lui avec force.
- Ton corps parfait ne pourra pas résister à une explosion de cette envergure, annonça simplement l’androïde.
Cell vit du coin de l’œil Taris qui s’esquivait, étrangement rapidement pour quelqu’un dont le corps déchiqueté perdait encore beaucoup de sang. Il ne faisait presque pas attention au robot derrière lui.
- Tu veux te faire exploser ? Tu te rends bien compte que tu vas tuer ceux qui sont ici avec nous ?
Le ton de la création de Bulma ne changea pas une seule seconde.
- Ils ont choisis de rester en sachant qu’ils ne s’en sortiraient pas. Et mon explosion est suffisamment concentrée pour qu’ils aient le temps de fuir. Tu connais toi-même le talent de Gero.
Le nom de son créateur fit réagir le clone, les données que lui avait confiées l’ordinateur lui revinrent en mémoire. Une sécurité dans le corps de chaque cyborg, au cas où ils n’arriveraient pas à vaincre Goku, ou Freezer, par leur seul énergie Une bombe qui aurait été capable de ravager une planète entière, mais dont le rayon restait extrêmement concentré pour détruire un seul et unique individu. Son corps pourrait-il encaisser cela ? Il préférait ne pas tenter.
Brusquement, Cell déploya son énergie, réussissant à s’extraire des bras de son ennemi, il donna dans le même temps un coup de pied rapide et puissant qui découpa nettement l’androïde en deux. Alors que la partie supérieure tombait vers l’arrière, le clone le vit sourire.
- Madame Brief ne m’aurait jamais implanté un tel dispositif.
Cell comprit alors, un autre moyen de gagner du temps ? C’est là qu’il vit derrière le corps de l’androïde, une immense colonne de lave qui s’élevait au-dessus d’eux. Sans se retourner, il sut qu’il était maintenant entouré de ce genre de colonne. Un rire glaçant s’éleva de sa gorge tandis qu’il se retournait lentement vers Ades, un peu plus loin, la main toujours tendue.
- Joli coup, commenta-t-il.
Et la lave le submergea soudainement.
Ades commençait à fatiguer. Même avec le regain d’énergie que lui avait fourni Varidal avant de partir, il ne pouvait pas continuer à attaquer un être aussi puissant que Cell sans ressentir des conséquences. Renvoyer ses deux attaques tout à l’heure avait été particulièrement difficile, et manipuler autant de matière d’un seul coup pour l’engloutir avait demandé une concentration de tous les instants. A présent, le Stygien savait qu’il lui restait à peine l’énergie nécessaire pour faire ce qu’il avait prévu de faire depuis qu’il avait décidé de rester sur cette planète maudite. Et l’occasion se présenta.
Cell, son aura dorée le protégeant de la lave, surgit du liquide en fusion et lui fonça dessus. Il vit le coup de pied venir et s’apprêta à parer. L’énergie qu’il déployait grâce à son esprit réussit à ralentir légèrement le coup, puis de plus en plus. Jusqu’à ce que Cell réussisse même à parler tout en continuant son coup.
- Tu n’as pas assez d’énergie pour me retenir éternellement, surtout pas à une telle distance.
En relevant les yeux vers le regard améthyste de Cell, le jeune homme sut que c’était vrai. Il tenta encore quelques secondes. Puis ce fut finit.
La barrière psychique disparut dans un bruit de verre brisé, le pied continua son chemin et Ades fut propulsé en arrière à une vitesse hallucinante. S’écrasant au sol, le Stygien traça une longue tranchée qui l’approcha dangereusement d’une rivière de lave. Par chance pour son corps, il ne brûla pas, mais son énergie avait disparue.
- Ce fut vite finit, commenta Cell, d’un air déçu.
Une main surgit brusquement du lac de lave qui s’était formé suite à l’attaque d’Ades. Les restes de ce qui fut Olaf s’en détachèrent rapidement, agrippant le pied du clone. L’androïde n’avait plus qu’un bras et une partie de son visage était brûlé, dévoilant les circuits électroniques en-dessous. Il se mit à voler, tandis que Cell le suivait tranquillement du regard.
- Tu tiens encore à te battre.
Un rayon d’énergie qui s’écrasa contre la joue de la créature de Gero, sans lui causer le moindre dommage, répondit à la question. Cell souriait toujours.
- Tu pourrais te cacher et attendre, je ne peux pas sentir ton énergie, ainsi tu serais à jamais libre, puisque tu survivrais dans l’espace. Pourquoi m’affronter pour perdre inutilement.
La voix d’Olaf était modifiée, changeant de timbre à plusieurs reprises de façon incontrôlée, il lui arrivait de se faire trop aigue pour que Cell la perçoive parfaitement, malgré son ouïe de Namek.
- De même que tu ressens un irrépressible besoin de voir les autres terrorisés devant toi, je ressens le besoin de sauver et de protéger. J’ai été créé pour protéger l’univers de la famille de Cold, me dresser contre toi est du même acabit. Je ne pourrais pas m’en aller simplement sans t’affronter, ce serait faillir à ma mission. Tout comme tu sembles attirer par la destruction, je ne peux pas ne pas défendre et protéger, peu importe mon état ou ma vie.
Devant le discours de l’androïde, la créature de Gero ne put qu’avoir un petit rire.
- On peut dire que nos créateurs nous ont laissés certaines habitudes, n’est-ce pas ?
- Sans doute oui, répondit l’androïde démoli en posant sa main sur le cou de Cell, tentant de le serrer avec le peu de force qu’il lui restait.
Le clone ne jeta qu’un bref regard au dernier geste de son ennemi, il avança cependant sa main tendue devant les yeux du cyborg.
- Noble de ta part en tout cas … mais inutile.
La tête de l’androïde sauta en un instant, le reste du corps, désormais amorphe, s’effondra simplement dans la lave, finissant de se désintégrer. Cell se massa tranquillement le cou, là où les doigts avaient serrés.
- Et maintenant … il nous reste toi, Taris.
Il se retourna en un instant, découvrant le guerrier agenouillé au sol, apparemment surpris de se faire ainsi découvrir.
- Comme si j’allais tous vous oublier, ricana Cell.
C’est alors qu’il reçut un rayon d’énergie au niveau de la tempe, le niveau était si faible qu’il ne chancela même pas. Mais cela lui fit tourner la tête, surpris. Il découvrit alors que celui qui avait été tiré était … un bras. Celui que Taris avait perdu tout à l’heure. Il se retourna vers le propriétaire. Le corps du soldat de Cold était maintenant rayonnant d’énergie.
- Voyons voir si tu survis à cela, Cell.
Fermant les yeux, Taris ajouta pour lui-même.
« J’accomplis la mission, mon Roi. »
Le corps du guerrier d’élite explosa brusquement, créant une gigantesque colonne d’énergie qui se dressa vers le ciel, sans pour autant atteindre Cell qui avait esquivé rapidement, lévitant maintenant quelques mètres plus loin. La créature haussa un sourcil, amusé, en redescendant sur un promontoire rocheux.
- Quel était le but ? S’amusa-t-il à demander tout en sachant que Taris, dont l’énergie disparaissait peu à peu, ne pourrait jamais répondre.
Il s’adressait au bras un peu plus loin, qui bougeait encore, sans aucun but précis cette fois. Quelle étrange créature que ce Taris, pouvait-il encore contrôler le bras maintenant qu’il était mort ? Le pouvait-il quand il était en vie ? Il aurait aimé avec des cellules de ce type, quoique cela ait rendu la partie encore plus facile.
Soudainement, la planète entière trembla. Et il comprit le but de cette colonne d’énergie qui s’estompait déjà.
- Le noyau, murmura-t-il.
- En effet, répondit une voix derrière lui. Il ne te reste que quelques minutes, Cell. Cinq, grand maximum.