C'est sûr.RMR a écrit:Question d'opinion et de perception.
Boo change de forme principale et sa queue change de taille, mais sa fonction reste identique.(Cell a l'élongation Namekku, mais sa queue a tout de même rétréci, ne pas en tenir compte, c'est comme dire qu'en fait, Boo ne change jamais de forme puisqu'il prend la forme qu'il veut)
N'empêche qu'il pond par la queue, et pas par ailleurs... De la même façon, on pourrait soutenir que la queue n'est qu'un passage pour l'énergie absorbée.Que Cell puisse pondre ne m'apparaît pas comme une fonction de la queue, la queue n'est alors qu'un passage pour la ponte.
Quant à la possibilité de gagner en énergie après accès à la forme parfaite, pourquoi alors parler de forme parfaite qu'une fois les deux cyborgs absorbés, si en fait, sa perfection tient en ses cellules et en un potentiel à avoir de l'énergie à l'infini ? Il est parfait depuis le début avec de tels critères, absorber les cyborgs est aussi un potentiel.
Parler de perfection est abusif, on le sait tous les deux : c'est l'erreur de Gero, de son ordinateur, et de Cell, qui n'a jamais rien eu de parfait. À mon avis, ils ne parlent de perfection que parce qu'il est tellement excellent "à tous les niveaux" (force, courage, intelligence... tout cela entre en compte dans leurs critères, auxquels je suppose qu'ils incluent la régénération et le répertoire de techniques) qu'ils imaginent avoir affaire au guerrier ultime. J'imagine (interprétation personnelle, bien sûr) que Gero (ou l'ordinateur), emporté par l'enthousiasme, s'est dit qu'il avait doté son bébé de tant de qualités et d'un tel niveau de ki que c'était bon, il avait créé le combattant ultime ; mais je le vois quand même mal, au moment de concevoir la forme suprême, supprimer la fonction bien pratique de la queue et donc priver son guerrier d'une technique redoutable juste pour éviter de se contredire. Si on me présente deux combattants, d'un niveau également monstrueux, mais dont l'un peut absorber l'énergie et l'autre pas, ce n'est certainement pas le premier que je qualifierais de parfait!Pour moi, parler de perfection à un stade donné si cette perfection n'est en rien une fin en soit, c'est un un non-sens.
Pour résumer, Gero est certes un génie scientifique, mais aussi un gros orgueilleux, et je pense qu'il n'a tout simplement pas mesuré la portée de ce mot qui sonne si classe, "perfection".