Suite tardive de ça et des 2 pages ou je m'exprime sur le sujet :
viewtopic.php?f=35&t=6397&start=345#p315996J'ai fini par revoir mon interêt encore à la hausse envers cette femme. Son copain est en partie responsable de cela (je joue sur les mots, ce n'est la "faute" de personne"). Ce gros naze si gentil de 27 ans, même pas capable de se faire cuire des pates ou d'avoir la moindre attention envers elle, aucun sens de l'initiative et en plus coup de merde au lit (oui bon, friendzone powa, elle me dit tout), mais bon l'était si gentil, même s'il me faisait continuellement me dire "mais merde quoi, il est trop naze ce mec, je serais 10 fois meilleur que lui dans tout les domaines, 10 fois plus débrouillard, attentionné, meilleur amant, meilleur aimant aussi".
Bref, mec gentil jusqu'a ce qu'il la largue comme une tanche sans explication y'a une dizaine de jours.
N'empeche que pendant cette relation, je l'ai vu sous un autre jour. Je l'ai vu totalement perdre son temps avec ce naze, mais ESSAYER quand même, loin des névroses envers son grand ex qui me faisaient si peur, et avec une maturité qui m'a surpris plus d'une fois, et j'ai vu à quel point sa vision d'un couple était proche de la mienne, même si je le savais déja. Donc comme un gland, sans le choisir du tout, j'ai pu aucun doute sur la nature de l'amour que je lui porte actuellement. C'est bien la première fois de ma vie que j'ai conscience d'aimer quelqu'un sans déja etre avec. La résultante de 13 mois de complicité j'imagine, et d'évenements favorables à ça. Je reconnais cet amour en tant que tel, vraiment puissant, et pourtant appuyé par des bases logiques (elle est objectivement nickelle pour moi, l'inverse me semblant déja moins vrai). C'est une amie géniale, que j'ai toujours trouvé attirante, et que j'ai finit par aimer pour tout ce qu'elle est, non pour l'image que je peux m'en faire ou ce qu'elle pourrait m'apporter.
Ca me bouffait depuis quelques jours, j'ai pas fait l'ado, et lui ait clairement dit tt à l'heure. Pour l'instant j'ai la réaction a laquelle je m'attendais, la réaction normale : le silence super gené (enfin c'est tout comme, plutôt un "c'est innatendu et perturbant). J'en souffre absolument pas pour le moment, je m'attendais absolument pas à ce qu'elle me tombe dans les bras, et en fait je me sens clairement liberé par rapport à ces derniers jours, le poids du secret en moins. L'amour est toujours la, pas la souffrance sous jacente qui commencait à me faire hair mon subconscient.
Maintenant, je poste pas de suite dans le topic ratal (bien que ça le mérite pour le moment). Une Friendzone ça se brise, et facilement je trouve, même si ce n'est pas toujours une bonne idée (pas souvent même). Je me connais très bien, je ne rentre absolument pas dans la catégorie des gros lourds, mais je suis charmeur, attentionné et perseverant pour la personne aimée. Des semaines, mois ou davantage, je suis trèèèès patient, d'autant plus quand je suis motivé, d'autant plus quand j'ai le sentiment d'avoir trouvé la plus belle perle de mon existence (au moins jusqu'ici).
J'affirme pas que j'arriverais forcement à la conquérir si je décide vraiment de la séduire. Je pars de la pleine Friendzone, l'oeil du cyclone même, et en plus je suis pas son genre à la base, mais je partirais absolument pas perdant pour autant, je dirais fifty/fifty au niveau des chances à long terme (vous le dites si je deviens ecoeurant à force).
Après, bonne idée ou pas ? Je peux aussi bien m'assoir le temps que mon cerveau reprenne les commandes et en revienne à une forme d'amour qui foutrait moins la merde. J'ai l'habitude de dire que je m'accroche pas à des chimères (donc que je me lasserais en 3 semaines), mais c'est la première fois de ma vie que je souffre d'un amour à sens unique, donc je me fait ptetre des films, et serait toujours aussi attaché après 6 mois posé sur mon cul. En tout cas si y'a un sujet ou j'ai AUCUN doute c'est sur ma capacité à rétablir une situation "normale" (celle d'avant) même après tout ce que j'ai pu lui dire.
Séduire or not séduire ? Prendre le risque de perdre une super amie, mais de gagner une femme dont je pense plus de bien que toutes les autres avant (et je suis pas un gamin de 17 ans emporté par ses hormones).
C'est un θ, il croyait qu'il était τ, mais en fait il est θ.