
Khanard {l Wrote}:Je ne suis moi même pas fan, mais essai d'être plus explicite dans tes propos : c'est parfois limite floodieux
Sinon, nouvel up ! Je m'essai à la retouche photos avec des photos prises par moi-même dans cet optique. C'est un début, soyez indulgent
Retouche photo "Bretagne"
>>| Photo originale
>>| Photo retouchée
Khanard {l Wrote}:Nouvel up !
Un premier jet pour le concours de signature de l'Union. J'suis franchement pas heureux du rendu donc je ne la soumettrai pas. Mais si ça peut donner des idées pour certains, la voilà :
Signature 2
>>| Test (un peu) foireux pour le concours de signatures de l'Union
Inikisha {l Wrote}:Tu voulais faire quoi, Khanard ? Parce que, strictement esthétiquement parlant, je trouve pas ça terrible...
C'était quoi ton objectif ? ^
7h00
Le radio réveil t’hurle l’ordre de te réveiller. Forcement, tu t’exécutes. C’est imparable. Comme chaque matin, à cette même heure. Le travail t’y force. Il paraît que même les chômeurs et les retraités suivent ce rituel.
Eux le veulent. Pour ne pas sombrer. Il leur faut donner un intérêt - même stérile et illusoire - à cette vie.
Alors que toi, tu t’y crois forcé. Tu l’es peut-être.
Comme d’habitude, tu prend ton petit-déjeuner en écoutant le flash de France Info. C’est pas spécialement par besoin de se tenir informer, mais surtout pour pouvoir suivre la discussion entre collègues lors du café de 10h.
Tu finis ton café tandis que le bulletin se termine.
Soudain, tu l’entend.
C’est elle. Encore une fois.
Tu files prendre ta douche, tu t’habilles et fume une cigarette. Tu es d’un naturel stressé. Surtout en ce moment. Le boulot est dur.
Et puis, il y a elle. Toujours elle.
Tu sors de ton appartement et descend dans la rue. Tu as de hautes fonctions administratives dans une galerie commerciale parisienne. Le travail est à seulement cinq minutes de chez toi.
Tu y va à pied. C’est l’occasion de marcher. Et de fumer une cigarette.
Soudain, tu la vois.
Toujours elle.
Tu n’en peux plus, cela devient trop : tu satures. Alors, tu lui lances vainement :
- Quand va-tu me laisser tranquille ?
Tu sais qu’elle ne le fera pas. Plus maintenant. Depuis qu’elle est arrivée, elle te corrompt. Elle n’est que perversion, pour toi, pour les autres.
Es-tu le seul à la voir ?
Ton cœur s’emballe. Tes jambes aussi. Sans te rendre compte, tu cours.
Non, tu fuies.
Une forte douleur à la poitrine - comme si une main te broyait le cœur - apparaît.
Tu regardes les environs. Sur un mur, la revoilà.
Et alors, tu te rend compte que cela sera toujours ainsi.
Alors, pourquoi fuir ?
Tu t’arrêtes de courir. La douleur se fait plus forte, encore plus forte.
Et puis, plus rien.
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