
Cela n'enlève rien cependant à ma remarque principale : ça fait mal aux yeux.

Sphax a écrit:J'aime bien par contre ça ne rendrait pas mieux si tu appliquais une lueur externe noir au mot nuit ?
Titus a écrit:P.S : Faudrais que tu change le lien la sur mon site (DBUnivers) je vien de sortir une nouvelle version a cause du temps mort XD
Titus a écrit:P.S : Faudrais que tu change le lien la sur mon site (DBUnivers) je vien de sortir une nouvelle version a cause du temps mort XD
Khanard a écrit:What ? Je comprend pas.
Khanard a écrit:P.S.: le lien qui va de ta signature vers ton site n'est pas valide Wink
Ishimaru a écrit:Chez Moi il marche.
Je me réveille et j’ai peur donc je n’ouvre pas les yeux. Je sens sous mon dos un matelas à la sensation inconnue. Où suis-je ?
J’ouvre enfin les yeux, plus par fatalité que par envie. A ma droite une petite table de chevet impersonnelle sur laquelle est posée une lampe dégageant une lumière tamisée et en face, il n’y a rien en face. Je me redresse suffisamment pour sentir les chaînes qui épousent mes poignets. Pourquoi ?
Je ne dis rien car personne ne m’entendra. Je pense peur, je pense colère, je pense haine, je désespère.
Et puis je repense à toi. Tu es mes vacances dans ce dur labeur. Je pense à ta peau inaccessible, ta chevelure dorée, tes yeux tristes et ton sourire crispée. Pourquoi n’a tu jamais été heureuse ? Ou pourquoi ne me l’a tu jamais montré ?
Tu me hantes. Là, sur ce lit blanc, alors que mon avenir n’a jamais été si incertain, je pense à toi. Tu es mon Enfer, tu es mon Eden; mes nuits et mes jours; mes joies et mes peines; tu es mon nirvana.
Alors la porte s’ouvre. Ce n’est pas toi mais je l’ai pensé. Un gaillard cagoulé s’avance vers moi. Si il veut m’abattre, qu’il le fasse vite. Il attrape alors une chaise que je n’avais pas encore vu jusque là et s’y assoit. Que veut-il me dire ? Pourquoi suis-je là ? Qu’ai-je fais ? Ou qu’aurai-je dût faire ?
Je repense à elle. Peut-être parce que je n’en aurai plus l’occasion. Son jean si moulant l’été; son débardeur suffisamment court pour me distraire; ses chuchotement dans le creux de mon oreille; sa main sur la mienne; sa bouche envoûtante; et toujours ce regard.
L’homme sort un objet d’une poche de sa veste. Je pourrai le voir mais je ne veux pas. A quoi bon ? Je le saurai tôt, trop tôt.
Sa langue contre la mienne; sa sueur au creux de mes reins; nos corps fougueux; nos âmes torrides.
Il se relève et se penche vers moi.
Les draps humides; « encore ! Encore ! ». L’orgasme ne changeait en rien ton visage chagriné.
Je distingue maintenant la lame qui trouve son chemin vers mon cou innocent.
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