San999 a écrit:il a juste pu voir que Kakarott est devenu Super Saiyajin 2 quelques instants, et rien que ça lui aurait suffit pour déduire qu'il lui était inférieur?
j'ai ma petite explication, elle vaut ce qu'elle vaut.
Je suppose que Vegeta, à ce moment, est capable d'atteindre le stade SS2. C'est sa puissance maximale.
Et, alors que Goku affronte un adversaire loin d'être dangereux pour nos amis, Vegeta voit son rival se transformer en SSJ2, très simplement. Il voit Goku dépenser une grosse somme d'énergie, comme ça, juste pour faire exploser son adversaire sans le toucher. Une belle démonstration de force.
Choc !
1) Vegeta se dit : "merde, ce *** de Kakarrot est capable de venir SSJ2 sans effort. Il envoie une dose d'énergie énorme (car transfo en SSJ2) et il est même pas crevé, on dirait que ça ne représente pas grand chose pour lui"
2) Vegeta conclue : "Donc, il doit être capable d'aller beaucoup plus loin s'il y va à fond. Car il n'aurait pas dépensé toute sa force contre ce vulgaire Yakon".
Ca lui rappelle d'ailleurs quelquechose : Goku sortir de la salle d'entrainement en restant tranquillement SSJ1. A l'époque, Goku montrait à tous que le stade SSJ1, bah, c'était du gateau. Il le contrôlait parfaitement et pouvait se permettre de dépenser de l'énergie continuellement, en restant au repos.
3) Vegeta réfléchit. "Le SSJ2, c'est ma force maximale. Celle de Gohan il y a 7 ans. J'ai mis 7 ans à atteindre ce putain de stade, et je compte me transformer que si je dois employer toutes mes forces contre un adversaire. Il faut donc que Babidi me donne + de puissance si je veux être au meme niveau que Goku : + fort qu'un SSJ2 tel que l'était Gohan contre Cell"
Lorsqu'il explique tout à Goku, ce dernier répond "tu t'es laissé manipuler juste pour être
un peu plus fort"." (tome38)
Ce "un peu" me fait vraiment penser que l'augmentation ne fut pas gigantesque.
Pas gigantesque, mais nécessaire selon Vegeta, qui a compris qu'il y avait toujours une petite différence entre lui et Goku.
Et surtout, il avait besoin de "se battre sans se soucier des conséquences". (tome38)