goten-kun a écrit:
Cette bonne dame Elisabeth Borne qui était à la direction de la stratégie de la sncf il y a peu. Elle a saccagé l'entreprise pendant des années . On lui doit nombre de réorganisations idiotes qui ont conduit à des suppressions de postes, n'importe comment. On voit depuis pas mal d'années maintenant le grand n'importe quoi à ma SNCF, des guichets fermés, des brigades voie fermées, ou réduites à mort, ...
Cette bonne dame si saccage tout, se retrouve au gouvernement ensuite. Et elle dit quoi ? "La sncf est mal gérée " !!!!
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Hum hum hum
Antarka a écrit:Cela dit en regardant les gens mécontents, qui sont aussi ceux qui en prennent plein la gueule, ce sont des membres de la fonction publique en général. Pas l'ensemble des profs hein, juste l'éducation nationale. Pas l'ensemble des soignants, juste ceux bossant dans le public. Les privés on leur fout relativement la paix, alors qu'il y aurait beaucoup de choses à redire. Y'a pas mal de dossiers que j'ai pas du tout suivi, genre la privatisation des aéroport de Paris, qui me confortent dans mon avis. Ou même la réforme des retraites, qui devrait en théorie booster les assurances-retraites... Privées. Et léser les nombreux qui ont pas les moyens d'en prendre une.
C'est sans doute exagéré/inexact, mais j'ai quand même l'impression très forte qu'ils veulent simplement plomber le service public. Stratégie avérée par le passé, tu le torpille volontairement pour faire croire que tout va mal (alors que c'est bien la faute de nos dirigeants), et tu le delapides pour 4 francs, tu refiles le bébé que tu as rendu malade quoi.
Voila voilà...
Je compatis Goten. C'est en gros le même soucis que dans le soin ou l'éducation nationale, on manque également beaucoup de personnel, et on est tous a peu près d'accord pour dire que ça résoudrait énormément de choses. D'autant plus que la proportion des budgets consacrés au salaire du personnel est en chute libre depuis des années dans ces domaines d'activités.
Heureusement qu'il nous reste l'amour de la patrie pour justifier notre appartenance à un service d'utilité publique. Oh wait...